Remerciez

Tant que le vent va et nous murmures des histoires, tout va.
Tant que le ciel bleu, clair, éloigne, le ciel gris, nous espérons.
Tant que le sol demeure calme, paisible, nous dansons.
Tant que les températures, ne sont ni trop chaude ou froide.
Tant que le feu se tient en retrait, épargne nos maisons étroites.
Tant que le vide reste à l’écart, dans la vie des autres, nous vivons.
Et si la maladie ne vient pas, alors là vraiment nous sommes heureux.

Quand remercions nous la terre, de bien, nous épargner ?

Jack Asmo Tous Droits Réservés

À vrai dire

Ce soir je pourrais dire beaucoup
Mais je ne ferais que radoter
Tel un vieux grognon en fin de route
Non ce ne doit pas être moi
Le changement viens du temps
Et non des êtres, eux prisonniers
Je ne peux que m’émerveiller
De mes propres textes ici, ce soir
Entre deux moments perdus, à relire
Stupéfaits du peu d’importance
Comme si pamphlets ou similaire
N’étaient pas textes pour mon blog
Étrange n’est-ce pas ?
Ils respectent toutes mes idées
Et ce que je suis au fond, à l’intérieur
Je relis le début du sujet et je me dis
Qu’à ma manière je participe de mon mieux
À quoi bon seulement critiqué les inepties
D’un monopole, gouvernement etc..
Quand tous les hommes sont égaux
Responsables.

Mais revenons à mes moutons
Plusieurs de mes textes ici
Devraient trouver leurs places sur mon blog
Ainsi soi-t-il.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Été / Automne / Printemps

L’été tire à sa fin, déjà, hélas pour plusieurs. Mais point que pour moi. Le doux souffle de l’hiver me manque énormément. Ses attaques glacials sur mon corps. Le ralentissement de celui-ci au même niveau que le temps. Et puis, d’ici à zéro heure une, le premier janvier, nous serons bien si c’était mon dernier. Temps sublime.

Ah, l’été, l’été. Aussi a bien du bon.
Et que dire du printemps.
Ou tout renait soudainement.
Contraire de l’automne.

J’aime bien le chant des oiseaux, revenue titiller Lili et apaiser mon âme, de leurs douces mélodies.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Renégats

L’anarchie, l’anarchie !

Mais qu’est-ce ?

Une révolte, un individualisme, une marginalisation.

Mais si le monde lui est raison et que sept milliards en contradictions, avec leur lieu.
Même nombreux, n’est-ce pas la une exclusion volontaire, tout de même.
Il n’y a pas de point d’interrogation volontairement. Bien souvent j’affirme en vous demandant.
Vous faire réaliser vos êtres, vos travers, vous amener a meilleur. Tel est mon seul but.
Et si lors de mon dernier souffle, une seule âme avait saisi, alors en paix je serais.

Nous allons bien tous en espérant, mais au fond. Bien peu parte avec le sourire.
Les loups guettant une faiblesse de l’être, viennent quand l’esprit faibli, suite au assaut du corps.
Par les intrus diverses ou les chute des princes, en bas des échelles du monde.
Ils vous agrippent et votre vie vous revient. En douleur, en cris, en pleure. Plonger dans le remords.
Finisse silencieusement, bien des esclaves… De la pensée qu’un sauveur, ou un sauvetage nous guette.
Quand quelques minutes de bonté, nous rachèterons nos fautes. Mais NON !
Il faut passé toute une vie sur la même mesures, en tentant de ne pas trop être de gros connards égoïstes.
Pour se soulager rapidement de l’étreinte canine, quand elle viens. Car personne n’est parfaits.
Ils viendront pour tous, un moment donné, mais bien heureux ceux qui en ressorte heureux et satisfait.

Moi ils sont déjà venu. Et tous les jours je soufre de vous tous. De ne pouvoir rien pour ce monde.

Pff .. Je n’arrive même pas a transmettre la raison ici même en ce lieu.
La récalcitrance des êtres humains, sont trop lourdes.
Il faut aussi avouez que l’humain vie heureux en nageant dans ces propres excréments.
Et que certains ne vivent heureux, que s’ils rabaissent les autres et complotent.

Oui, souvenez-vous, je vous l’ai murmuré un jour de pluie.
Un homme c’est tous les hommes.
Les groupes, ne peuvent pas refléter autre chose que leur humanité.
Aux détriments des plus faibles. En maltraitant et privant bien de jouissance ceux qui n’ont rien demander.
Souvent malades, n’ayant plus la force de recommencer ailleurs.
Ces hommes bien féminin. Dépourvu de masculinité.. Du moins entre les jambes.
Sont eux qui ont les plus grandes gueules. C’est le mélange des deux, qui crée les êtres difforme.
Car ils se retrouvent a devoir user, de la mesquinerie féminine, mais sans la classe et la douceur.

Les femmes, que vos dieux m’en soi témoins. Souvent j’ai craché sur vous.
Lorsque je n’étais encore, qu’un jeune machos, antiféministe. Ce bien avant ma puberté.
Mais je réalise en ce moment, que ce sont les faux hommes que je combattais.
Que je combattrais toujours … Pour tout dire, a vrai dire.
Pardonnez-moi. Je suis bien bas, a genou, pour le demander.
Votre féminité n’a rien a voir avec cette guerre.

La fausseté est le plus grand ennemi de la raison et du fou.
Mes deux moi les haïssent….

Souvenez-vous, que la raison est aussi le fou. Avec le droit de ne pas respecter les conventions.
Car le fou est fou, s’outré devant lui, ne sers a rien. Rabaisse le porteur de faux état. Il n’y a pas de sentiment la-dedans. Outrance est un état plus féminin, que masculin, mais observez bien, utiliser par les renards et les vautours.

Oui, oui …

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Patients (Suite)

Tous attendent, patient, labile.
Résignés … Voir soumis par ce système.
Qui est troublé, abstinent de bonne volonté.

Certes gratuit, mais ce seul point, n’excuse pas les négligences et les longues heures d’attente, interminable, à souffrir. Car la manière du tri est plus que douteuse. J’en ai vue laissés en danger, par cela. Censé nous soigner, cette mascarade, de va et viens entre les diverses admissions et l’infirmière de triage.

Que ce soi cet homme avec le cou fracturé, placer dans une entraille de métal, très inconfortable et douloureux. Attends malgré tous, même si s’asseoir est très pénible, se retenant de pleurer, comme un jeune garçon se serait permis. Mais dans le regard, l’on y vois tout la désolation et le martyr de l’être.

Ou encore cet homme avec un clou planté dans la main. Il attend qu’on lui retire depuis un bon trois heure, sans piqûre anti-tétanique, rien !

Est-ce là ce que nous devons accepter, frères Québécois ?

Il y a du beau au milieu de toute cette déception. Cette jeune femme, venue attendre avec sa grand-mère de quatre-vingt-cinq ans. Sans rien en demandé en retour, elle s’en occupe bien.

Mon sourire redescends vite, lorsque je vois l’infirmière raccompagner ce vieil homme seul, dans son fauteuil roulant et l’abandonner au milieu de cette salle d’attente, sans rien, même pas tournée vers la télévision.

Ma dernière pensée m’est venu en cessant de voir;
« C’est tout de même rassurant l’odeur du mouvement, dans les hôpitaux. Lorsque nous fermons les yeux. »

Jack Asmo Tous Droits Réservés