Bonjour chers lecteurs et amis du web. Ce nouveau texte était très long, alors je l’ai divisé en trois parties. Avant j’ai écrit une prémices, que je vous invite à lire avant de débuter ces textes. (Partie 1 ici) (Partie 2 ici)

Ces textes sont en écriture depuis un moment déjà, je ne les ai pas envoyé, car ils sont très personnels, il me raconte. Et j’éprouve des difficultés avec des anciennes personnes de ce site. Donc je vais en mettre que des extraits, le temps que ça ce calme. Et qu’il ce retrouvent un peu plus bas sur la page.

Au vue ces deux derniers textes, l’on peux en résumer, que ce sont de étrangers qui s’occupe de moi. Même encore à ce jour, à  vingt-quatre ans. Sur les tchats et forums, car ma famille elle est inexistante. Comme toujours.

De mes plus anciens amis, qui eux me croise et ne me dise qu’un salut de deux seconde, si l’envie leur chante. Et me regardent l’air de dire, qu’ils ne veulent surtout pas engager la conversation. Puis font comme s’ils avaient quelque chose de super important à aller faire.

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À suivre

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Bonjour chers lecteurs et amis du web. Ce nouveau texte était très long, alors je l’ai divisé en trois parties. Avant j’ai écrit une prémices, que je vous invite à lire avant de débuter ces textes. (Partie 1 ici) (Partie 3 ici)

Ces textes sont en écriture depuis un moment déjà, je ne les ai pas envoyé, car ils sont très personnels, il me raconte. Et j’éprouve des difficultés avec des anciennes personnes de ce site. Donc je vais en mettre que des extraits, le temps que ça ce calme. Et qu’il ce retrouvent un peu plus bas sur la page.

Petit que je sois avec ma mère ou mon père, quand ils étaient séparer, ça revenais pas mal au même. Une bonne partie de temps, je me débrouillais seul. Bien sur mon frère parfois restait au même endroit que moi, mais ça ne changeais rien à ma routine.

Avec mon père, je revenais de l’école et il n’y était pas. À la place s’y trouvait un vingt dollar sur la table, je le prenais et allais manger au resto. Pour ce faire je traversais la cour de l’école secondaire tout prêt. Le mcdo, est toujours ouvert et là quand tu en a de besoin. Un joyeux festin avec hamburger, seulement ketchup, comme d’habitude. Quand j’étais seul, je me prenais aussi un dessert.

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À suivre

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Bonjour chers lecteurs et amis du web. Ce nouveau texte était très long, alors je l’ai divisé en trois parties. Avant j’ai écrit une prémices, que je vous invite à lire avant de débuter ces textes. (Partie 2 ici) (Partie 3 ici)

Ces textes sont en écriture depuis un moment déjà, je ne les ai pas envoyé, car ils sont très personnels, il me raconte. Et j’éprouve des difficultés avec des anciennes personnes de ce site. Donc je vais en mettre que des extraits, le temps que ça ce calme. Et qu’il ce retrouvent un peu plus bas sur la page.

Je me débrouille seul pour tout, depuis toujours et surtout enfant. Appris tôt à survivre dans ce monde dit humain, que je me plais à renommer « déception ». Tout ce que je sais et ce que J’ai appris, je l’est expérimenté seul. Sur tout les fronts, précoce dans beaucoup de domaines d’ailleurs. Allons-y un à la fois…

À l’âge ou je préférais encore me cacher pour déféquer, dans mes propre pantalon. Plutôt que de demander de l’aide  à ma gardienne pour aller au toilette. Je songeais déjà à la sexualité. Vers quatre ans, je dirais. Mais je ne savais pas le demander et puis, les autres enfants n’avaient guère à offrir. J’ai donc dû attendre mon tour, un peu comme tout le monde. La seule différence où j’ai attendu ou patienter moins longtemps.

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À suivre

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Lundi matin, toujours rien écrit. Un texte exige beaucoup d’énergie, ça vide, sans rien donné en retour.

Les déchirures de l’âme sont si grandes, que je ne sais jamais par où commencer.

Ce début de décembre particulièrement stressant; déjà que c’est un mois de merde, ingrat, cette année s’est pire.

Je me dit entre deux désespoirs, que j’aurais aimé aller plus loin dans la vie.

Toute une vie qui est inatteignable, laisser en suspends quelque part dans le temps, oubliée à présent.

Dans ce cas, c’est une chance que j’ai plus peur de la vie, que de la mort.

L’écriture est une succession de mots et d’idées, acquise au fil du temps et de l’inspiration qui va.

Demeure un texte assez brouillon, plaira à ceux qui ne se cassent pas la tête.

Jack Asmo Tous Droits Réservés