Bofff

La stupidité, ne l’ais-je pas suffisement décrite encore ?

Je ne crois pas, c’est un travail, hélas, bien infini. Il en sera toujours des exemples flagrant, servant a appuyé cette triste conclusion; L’humain est un con !

Comment décrirons-nous toujours l’absurde, en particulier quand la raison semble volée, toujours, hors d’atteinte.

Exposerons-nous encore ces faits, anéanti, de ne plus croire à mieux.

S’il est une entité supérieure, qu’elle nous retourne d’où nous venons, par la grâce et l’élégance du soupir final.

Atterrer par tant de médiocrité, de stupeur et de dégoût, dernièrement, je m’affable beaucoup trop de stresse, pour cet être, encore fragile.

Quand  les gens censé te venir en aide, traite ton logis, tes biens et ta personne avec autant de mépris. Que les cochons des porcheries en sont plus respecter et soigner, c’est à se demander.

Qui sont ces travailleurs éhontés, de quel droit abîment-ils autant mon logis, ma demeure, ma conscience, qu’ils ne la réparent ?

Pourquoi tant d’insouciance et d’ignorance ?

Chaque jours c’est un peu plus malpropre, abandonner et non ce n’est pas le cour normal. Je vie là ! Ce n’est pas un chantier inhabité; Où est donc la raison lorsque vient le moment de traiter ces deux cas de figure ?

Maudit soi ces patrons du sinistre, qui font travailler les autres sans raisons légitimes, pour toucher le gros magot ! Qui ne les guide pas, les lâchent dans la fosse sans responsabilités.

J’ai vue les entrailles de mon plafond à nue, en ce deuxième étages, nul traces d’eau ou d’humidité, refermer sans test, ni traitement quelconque. Qui sont les fous ?

Qui prennent-ils donc pour des imbéciles ?

Je ne sais que faire devant autant de déraisons acquiescer de tous.

L’envie de crié et de barbarisser, voilà tout ce qu’il me viens. La raison cédera t-elle encore sa place à la rage ou la parole l’emportera sur le sarcasme ?

Nous verrons bien en temps voulu.

*Je tiens à remercier Qualinet construction, de me redonner de la matière à écrire, me sortant ainsi de ce long moment de vide.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Petite chansonnette du lundi après-midi

J’ai envie de péter, j’ai envie de péter
De faire des bulles
Des traces de brakes
De tout déchiré
Dans un soupir
Nauséabond

Parfois c’est parske j’ai envie de chier
Si c’est pas trop mou
sa demeure bien là
Dans la petite cabane
Derrière l’anus-porte
À merdeeee

Si par malchance ça sort
Une raie humide
Des sous-vet souillé
une odeur persistante
Rien à faire y faut s’laver
Ou s’parfumer plus fort

À suivre…

Ou pas !

Déraison

Je reconnais volontiers n’être qu’un lâche, un paresseux ; non je ne prendrais pas les armes pour combattre la déraison Syrienne, même si cette anarchie me ronge au vif, moi porte-étendard de la raison, moi le fou à qui la raison murmure de temps à autre. Je ne me lèverais même pas de cette chaise d’ordinateur pour dire NON. Je suis humain, vrai, comme tous les autres, je regarde sans rien faire, comme tant de génération l’on fait avant moi. Pourtant, la raison ne commande pas le sang, non, elle réclame qu’un peu de temps. Si tous, le plus nombreux puissions nous être, sortions sur nos trottoirs, manifester, sans bouger, ni parler, juste demeurer là, les gouvernements n’auraient plus d’autre choix que de réalisé que nous sommes contre et qu’ils commenceraient désavantagé au jeu de l’hypocrisie, oups, lapsus, de la politique s’ils n’essaient pas d’au moins faire semblant d’y faire quelque chose. Imaginés plusieurs gouvernements de différents pays, font semblant de vouloir faire quelques choses, ça leurs foutraient les chocottes à ces réfractaires de la raison.

Mais bon, notre utilité n’est pas de réfléchir, nous peuple, nous moutons, mais de suivre les faux bergers. Dommage tout de même…

« Seuls les morts ont vu la fin de la guerre. »

Platon

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Pensée du soir

J’aimerais croire, voir rêver, qu’il y a mieux là dehors au loin, une race ou une entité qui mérite de vivre. Dans tout cet univers nous ne sommes pas seul, peut-être sommes-nous une expérience ratée ou un amusement quelconque, pour des êtres plus stables et concis. Mais hélas au même titre que l’humain ne peut que créer que ce qu’il voit et dans ce qu’il est, je crains fort que cet univers, soi lui aussi tout autant archaïque que nous. Sous ces belles apparences de suprématie impartiale et d’allure parfaite.

Que reste-t-il au songeur, lorsque ses rêves s’évaporent à chaque tombé de nuit et que la réalité revient le hanté ?

Jack Asmo Tous Droits Réservés