Que rêvent donc nos petits camarades ?
Ont-ils la possibilité de rêver à mieux ?
Ou n’expriment-ils dans ceux-ci que le quotidien ?

Tel que nous nos journées des répétitions malsaines.
Mais nous avons l’extraordinaire chance de sombrer,
dans des délires nocturnes. Qu’ils soient beaux ou moches.
Sachant à présent que le rêve peut être destruction,
décroches néanmoins des sourires au réveille.

Est-ce ainsi pour tous les êtres du royaume animalier ;
Nous y compris, bien que je le voudrais autrement pour eux.
L’homme, dans le sens humain, est toujours une bête.
Ce n’est pas car il peut placer plus de cubes qu’un macaque,
qu’il est meilleur, plus grand, non il s’enferme seulement plus.

Quel est la normalité, d’un temps, d’une espèce..
Nous nous entrevoyons rêver, les jours et nuits.
La question est surement à double sens,
toujours est-il que nous avons au moins la certitude,
lorsque l’autre est en paix, cet éclat dans la présence.

Les cauchemars n’effraient pas les êtres sombres.
Mais les animaux eux sont lumières..
Peut-être que leur absence de raison les protège.
Heureux ceux qui ne voient pas, ils seront en paix éternellement.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Nous arrivons au jour où le temps de la réalisations des êtres est à nos portes. Cette domestication peu banal, disons-le, que le vent nous colporte. Sombres mensonges éhontés transmit de générations en dégénérations. Suffit ! Sale bande de morpions couchés en larves, mais réveillez-vous donc !

Vous qui croyez que la technologie et l’internet sont symbole d’évolution ; Ha ha ha je fais sur vos âmes perfides, vous êtes bien à crouler dans vos étrons. Un outil s’il est mal utilisé ne sers à rien d’autres que perpétuer le cercle de normalisation. Celui même qui dit que s’en prendre à autrui est tout à fait valable, sans aucune raison.

Il y a bien ceux qui osent se dévoiler et ceux qui demeurent bien caché à prendre de haut. Oui nous les connaissons tous, sur la toile nous les nommons « trolls/haters », de sales clodos. N’ayant tellement pas de vies eux-mêmes, qu’ils se sentent obliger de pourrir ton entrain. Songez à qu’elle point leurs existences sont malheureuses, leurs destins figés dans l’airain.

Pour reprendre une phase de Rutebeuf ;
« Pauvre sens et pauvre mémoire
M’a Dieu donné, le roi de gloire »
En regardant l’humain, je me dis que cela conviens bien à tous.

Ces petits alphabets qui n’ont dans la bouche, que du sable dans le vagin et de la chevauchée de pénis. Quand ce n’est pas à vouloir qu’un tel suce un membre, en érection ou pas. Non je vous le dis, la jeunesse s’en va nul part, brave gens. Le pire ils croient dur comme fer qu’ils sont l’expression d’un temps nouveau. Où s’en va le monde, mais où ?

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Lisons ensemble mes frères vaillants
Et réjouissons-nous bien des quelques mièvreries

Conspirations aujourd’hui créées anormalement
Annonciateur de difficultés profondes d’un peuple
Classe mitigée, de plus en plus solitaire, oubliée
Anecdote d’un monde de plus en plus divisé, esseulé

Exagérons un moment le raisonnement
Saurons-nous voir alors le et les faux ?
Taisons notre ressenti, comme toujours

Pensons.. Non, retenons tout à l’intérieur
Assumons au moins notre aveuglement, non ?
Rassurons-nous sachant que nous sommes pareils
Tous conçus du même moule déficient, moisi
Oui je me répète encore et toujours
Utilité d’une vie avons-nous ? Je ne sais pas !
Tout ce qui demeure au final, c’est la fin, le loup

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Les vipères arrivent en rampant pour sucer tout le potentiel d’un lieu, au proportion féérique.
Pour mieux repartir la queue entre les jambes, après toute la merde et manque d’attention mécanique.
Leurs absences de raisonnement, de jugement, en fait rire ou pleurer bien des braves idylliques.
Au travers du son de l’espace temps, le tic-tac de leurs esprits sont bels à hauteur cadavérique.

Voyez comme tout s’allège le dimanche en après-midi ;

Les vipères arrivent pour mieux répartir leurs absences de raisonnements au travers de l’espace temps..

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Arrrrgh, où es-tu fou ? Ami de la raison, disciple de fuite de l’humanité connue et endurer, pour nous blablater un peu de précis-concis ci-bas. Mon allié, ma passion, mon reflet, moi-même en certains jours sombres, entre deux vides, quelque part dans l’abstrait d’une lune à demi éteinte. D’une histoire qui se répète jusqu’à l’épuisement, l’essoufflement d’un temps. Mais où seras-tu donc demain, dans quel mission, lubie, plonger dans quel cahier, clavier, exprimer le vrai, toujours loin du faux. La fausseté non admirable, le manque de courage, représente trop ces instants perdus devant ce miroir sans reflet, n’en étant pas un, mais une erreur, terriblement mal-placé, mal-utilisé, bravo la jeunesse. Les moisissures de l’être s’accentue toujours de génération en génération, ainsi est le constant dès lors de l’éclat de raison.

Jack Asmo Tous Droits Réservés