Fuyante raison

Ambigu désolation kayakant vers l’infini tourmenté.
Des trahisons sanguinaires portées à l’avant sans retenu.
Déraison d’un monde purgé de volonté non-abstraite.
Réalité triste et confuse d’une planète égarée en nul lieu.
Cauchemar de la progéniture future, qui elle ne rie pas.
Contradictions des mots et gestes continus de la déchéance.
Imperfection soumise au temps, demeureras gracieuse.
Vouloir absent, clapotons dans l’eau brune consistante.
Regardons demain maudit, comme hier pendu en lâche.
Balançoire du temps, grande défaveur aux hommes…

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Brume

La brume au loin se lève pour masquer les erreurs des hommes.
La brume si dense éperdue, pourtant intouchable, inviolable.
La brume féerique nous enveloppant bien séparément, à s’y perdre.
La brume nous nargue de trouvez seul notre chemin, aveugle.
La brume est un voile permanent de l’âme, constamment présent.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

2 mai; La chute

Regarde, mais regarde là bas, l’aube obscur apparaît au loin.
Regarde, mais regarde là bas un jour se lève, perdu il est.
Regarde, mais regarde là bas dans le vide, c’est nos vies envolées.

Regarde, mais regarde au loin c’est nous qui sommes morts errants.
Regarde, mais regarde au loin c’est l’aurore qui pleurent des larmes de sang.
Regarde, mais regarde au loin nous ne sommes plus, ce monde se réjouit.

Regarde, mais ô regarde à jamais c’est les solstices qui rient.
Regarde, mais ô regarde à jamais la nature se facilité la vie.
Regarde, mais ô regarde à jamais les chats dansent de joie.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Amour avec un grand P

Vois mon regard ce défilé au tréfonds des sentiments humains. Seul les faibles pleurent, je songeais à cet instant. Pourtant de toute ma testostérone je m’abaisse pour te dévoilé cette peine qui me tue. De cette fureur qui me guette à chaque pas, à chaque murmure perdu.

Comme j’aimerais que tu ressentes cet amour donc tu fait fis. Cet amour tellement immense, que cent mères ne rivalise pas avec lui. Petite prunelle de mes yeux, dommage que ça ne soi pas réciproque et que tu n’essaie pas de comprendre…

Que je peux que t’aimer quand;

en un instant je t’ai vue grandir
en voyant ce que tu es devenu
en sachant tout ce que tu as traversé
en constatant ta force de te relevé

Malgré tout, l’adversité, les embûches et trahisons.
Tu as réussi non sans peine, tel un survivant à gagné.
Là où tous te donnais perdant, cinquante contres un.
Tu as surpris tout ces minables qui t’ont blessés.

Je t’aime à jamais mon ange, vole bien haut.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Le sentier

Blog Le sentier 1

Marchant sur le sentier, le poète vas d’un pas sur vers la normalité. Arrêter dans cet abri non-fumeur, caresser par les rafales de vents soufflants éperdument. Regardant la vie tel un fauve, à la recherche d’une proie à décortiquer. Difficile d’écrire, mes mains geler peinent à tenir ce carnet, si prés du zéro. J’aime bien être ici, anonyme et remarquer de personne, surtout à cette heure. La vie se déroule sans moi, pourtant je reste là pour décrire ce moment.

Blog Le sentier 2

Je vais ré-insérer mon crayon dans les anneaux qui retiennent ces pages. Reprendre le sentier qui mènera cette fois vers mon monde à moi, bien au chaud. Par ce parc aux arbres obscurs, où certains penchent, croulant sous le poids de l’humain. Le monde est tellement plus beau dans le noir, les sentiers de gloires sont alors plus visibles. Le glorieux affiche bien haut, les trophées de ces démons qu’il a vaincu, au prix de tellement de sacrifices.

Blog Le sentier 3

Jack Asmo Tous Droits Réservés