Vois mon regard ce défilé au tréfonds des sentiments humains. Seul les faibles pleurent, je songeais à cet instant. Pourtant de toute ma testostérone je m’abaisse pour te dévoilé cette peine qui me tue. De cette fureur qui me guette à chaque pas, à chaque murmure perdu.
Comme j’aimerais que tu ressentes cet amour donc tu fait fis. Cet amour tellement immense, que cent mères ne rivalise pas avec lui. Petite prunelle de mes yeux, dommage que ça ne soi pas réciproque et que tu n’essaie pas de comprendre…
Que je peux que t’aimer quand;
en un instant je t’ai vue grandir
en voyant ce que tu es devenu
en sachant tout ce que tu as traversé
en constatant ta force de te relevé
Malgré tout, l’adversité, les embûches et trahisons.
Tu as réussi non sans peine, tel un survivant à gagné.
Là où tous te donnais perdant, cinquante contres un.
Tu as surpris tout ces minables qui t’ont blessés.
Je t’aime à jamais mon ange, vole bien haut.
Jack Asmo Tous Droits Réservés
Quelle triste histoire, j’imagine que c’est un fait vécu! C’est fou comment les sentiments les plus profonds permettent de faire les meilleurs poèmes. Continue!