Petit moineau

Petit moineau, vole, vole, vole. Que tes ailes ce déploies. Que tu aille de tes ailes caresser le ciel et les rayons de soleils illumineront ton corps somptueux. De ce qu’est la plus merveilleuse chose dans l’univers.

L’humain l’a souvent cherché et dans ces carcasses de métal, ne peut qu’espérer ressentir quelque peu, ce que ça fait de voler. Mais seul toi petit moineau et tes semblables pouvez le comprendre et le vivre. De tout temps les humains auraient aimés, éprouver cela, mais il est impossible pour un humain de volé. Il est inconcevable pour lui de véritablement adhérer, au ciel est ça grandeur.

Dieu ne nous as pas donner de plumes, ni d’ailes. Il nous as donner une volonté de fer pour tout détruire et imiter cependant. Et encore heureux que nous ne soyons pas aillés, parce que nous aurions fait des guerres bien plus sanglantes que ça et bien avant. Ce monde ce serait déjà probablement éteint, si la possibilité de voyager sur de grande distance très rapidement, nous auraient été donner tout de suite.

C’est mieux pour ce monde d’avoir attendu des siècles, avant de pouvoir toucher le ciel d’une aile difforme de métal. Et c’est tout ce que l’on mérite au fond. Et quel ironie de voir tes frères, petit moineau, venir détruire par un acte kamikaze, ces faux oiseau de métal. Ô toi petit moineau, apporte tes frères et foncez dans toutes les absurdités de métal qui font ombrage à ta splendeur.

Petit moineau, petit moineau! Toujours grand tu as été et éternellement tu le sera, car même de tes petites ailes tu voyage bien plus loin que ne le feras aucun humain. Et c’est ainsi que de tes petites ailes tu t’envole petit moineau,  vois ce ciel qui t’appelle. Sens l’air parcourir tout ton être, car c’est ça qui te défini. C’est le cadeau que la nature t’a offert.

Vole vole, petit moineau, vole vole!

Blog Oiseau

 

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Vue

Vois le tourment qui me tue.
Vois mon cœur qui vie et bat.
Vois comme je suis faible.
Vois comme j’aimerais vivre.
Vois comme j’ai peur et rage.

Vois cette tristesse qui perdure.
Vois cette esprit qui implose.
Vois ce mal qui me gruge de l’intérieure.
Vois au travers de ces yeux l’âme qui pleure.
Vois en ce souffle court, l’halètement du déçu.
Vois en ces tremblements ma peur grandissante.
Vous en cette grosseur des années de dépérissement.
Vois mon reflet, comme il déjà est mort, d’être seul.

Comprends en tout point ce fardeau trop lourd à porter.
Comprends qu’il est presque impossible de gagner.

Réalise que sans toi je n’y peux rien, que je n’y arriverais pas.

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Nuit d’été

Durant une nuit chaude d’été, entrelacé par le destin.
Qui nous mène où nul ne sait…

Brise d’été, en ce soir me rafraîchis doucement.
Après une journée sous la chaleur accablante.
Une lumière ce reflète au loin, c’est celle de la loi.
Celle des hommes, il en va de soi.
Les sirènes elles annoncent plutôt, un insouciant téméraire,
qui ce retrouve bien malgré lui à l’hôpital du coin.

Puis deux bozos en vélos me demande en passant,
d’un air moqueur et plus que vulgaire: T’écrit un poème le cave?!
Moi d’acquiescer et eux de rétorquer: Mange donc d’la marde!
Je ne les connais pas, mais d’être assis la, crayon et papier à la main, leurs avaient suffit pour me crier des injures déplorables.
Manque d’éducation certain, ils possèdent l’art divinateur de l’innocence.

Assis en ce soir, dehors, mêler aux autre n’est guère rassurant,
pour celui qui viens d’une réalité délaisser.

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Arrêt obligatoire

Le stop crochit au gré du temps, n’en ai pas moins important.
Son message ne change pas pour autant, il reste ferme.

Il demeure aussi solide dans le sol, que dans son jeune temps.
Jadis lorsqu’il était encore qu’un stop novice tout droit sortie de l’usine.

Neuf, beau et rutilant, affichant fièrement sont message d’arrêt.
Que quelqu’un avait poser là, précisément, sur ce coin ténébreux.

Mais quand est-il en ce jour…?
Toujours enfoncer sous terre rêvant de liberté.

De voir plus loin que ce coin, devenu merdique.
À tout de moins retourner à l’usine pour servir à un autre.

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À toi douleur

Je veux tant écrire ce mal, cette tristesse qui me pèse en ce soir.

Pour tout les faux espoirs terribles de la vie.
À tout ces amis qui nous ont quittés, pour toujours.

À toutes ces histoires d’amitiés manquées.
À tous ces moments de grande solitude.
À tous ceux qui nous on blessés.
À tous ces menteurs hypocrites.
À tous ceux qui ne ce cachent pas pour nous ridiculiser.
À toutes les fois ou l’on pleure tellement qu’on croit mourir.
À tous ceux pour qui l’on ne vaut pas plus que la merde en dessous de leurs souliers.

Aux moments qui font tellement mal, qu’on s’arracherait le cœur.

À cette rare fois ou la rage démesurée a rencontrée l’amour en perdition et où l’on a souffert de vouloir tuer l’être aimée.

À toutes les fois ou les agissements incompréhensibles d’un ami nous on changé pour la vie, nous laissant dans le doute absolu.

À toutes ces choses qui sont inaccessibles, qu’on espère en vain.
À tout ces rêves brisés que l’on a laissés quelque part en chemin.

Pour ces raisons je te dit d’aller te faire foutre, salope de vie de merde!

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