Durant une nuit chaude d’été, entrelacé par le destin.
Qui nous mène où nul ne sait…
Brise d’été, en ce soir me rafraîchis doucement.
Après une journée sous la chaleur accablante.
Une lumière ce reflète au loin, c’est celle de la loi.
Celle des hommes, il en va de soi.
Les sirènes elles annoncent plutôt, un insouciant téméraire,
qui ce retrouve bien malgré lui à l’hôpital du coin.
Puis deux bozos en vélos me demande en passant,
d’un air moqueur et plus que vulgaire: T’écrit un poème le cave?!
Moi d’acquiescer et eux de rétorquer: Mange donc d’la marde!
Je ne les connais pas, mais d’être assis la, crayon et papier à la main, leurs avaient suffit pour me crier des injures déplorables.
Manque d’éducation certain, ils possèdent l’art divinateur de l’innocence.
Assis en ce soir, dehors, mêler aux autre n’est guère rassurant,
pour celui qui viens d’une réalité délaisser.
Jack Asmo Tous Droits Réservés