Petit moineau, vole, vole, vole. Que tes ailes ce déploies. Que tu aille de tes ailes caresser le ciel et les rayons de soleils illumineront ton corps somptueux. De ce qu’est la plus merveilleuse chose dans l’univers.
L’humain l’a souvent cherché et dans ces carcasses de métal, ne peut qu’espérer ressentir quelque peu, ce que ça fait de voler. Mais seul toi petit moineau et tes semblables pouvez le comprendre et le vivre. De tout temps les humains auraient aimés, éprouver cela, mais il est impossible pour un humain de volé. Il est inconcevable pour lui de véritablement adhérer, au ciel est ça grandeur.
Dieu ne nous as pas donner de plumes, ni d’ailes. Il nous as donner une volonté de fer pour tout détruire et imiter cependant. Et encore heureux que nous ne soyons pas aillés, parce que nous aurions fait des guerres bien plus sanglantes que ça et bien avant. Ce monde ce serait déjà probablement éteint, si la possibilité de voyager sur de grande distance très rapidement, nous auraient été donner tout de suite.
C’est mieux pour ce monde d’avoir attendu des siècles, avant de pouvoir toucher le ciel d’une aile difforme de métal. Et c’est tout ce que l’on mérite au fond. Et quel ironie de voir tes frères, petit moineau, venir détruire par un acte kamikaze, ces faux oiseau de métal. Ô toi petit moineau, apporte tes frères et foncez dans toutes les absurdités de métal qui font ombrage à ta splendeur.
Petit moineau, petit moineau! Toujours grand tu as été et éternellement tu le sera, car même de tes petites ailes tu voyage bien plus loin que ne le feras aucun humain. Et c’est ainsi que de tes petites ailes tu t’envole petit moineau, vois ce ciel qui t’appelle. Sens l’air parcourir tout ton être, car c’est ça qui te défini. C’est le cadeau que la nature t’a offert.
Vole vole, petit moineau, vole vole!
Jack Asmo Tous Droits Réservés