Une accalmie au cœur de la tyrannie. Cette putain de vie, donc nous devrions être reconnaissant qu’elle nous laisse parfois en paix.
Mais moi, je te le dis et redis, soi maudite. De toute ton injustice tu as créé l’homme, ce fauve, qui crache sur sa mère et se vomit dessus. Comment veux-tu que celui qui voit et ressent trop ce monde, soi en mesure d’y vivre ?
Toujours des surprises qui viennent gruger l’âme du perdu. Mais foutez-moi la paix! À jamais sur cette route désertique, je subis les autres humains plus durement à la négative, j’aimerais qu’il en soi des douleurs positives plus souvent. Dans cette prison d’où frappent le temps et les misères.
Cette prison est toujours, bien que je le voudrai autrement. Ces oiseaux sont encore hors de porter. Je voudrais être avec eux. La liberté, la grâce, la vivacité, le vole. Si bien.
J’ai scié ces barreaux, pourquoi sont-ils encore présent en mon esprit ?
Jack Asmo Tous Droits Réservés