Ce n’est pas l’oiseau qui est en cage, c’est moi.
Enfermé comme une bête, abandonner de tous.
Toujours tourner en rond dans mon foutu 3 1/2.
Cage dorée qui ne luit que dans le regard des autres.
Le regard des autres, tellement futile en y pensant bien.
On le cherche en vain, si ardemment malgré tout.
L’oiseau lui siffle, moi il y a belle lurette que je ne siffle plus.
J’essaie, mais je n’y arrive pas, tellement d’efforts.
Un destin médiocre à chaque détours perdus.
Des odeurs sublimes me viennent, je ne peux les atteindre.
Je vois au loin les oiseaux qui eux sont libre.
Je les regarde virevolter au dessus de Québec, tel des fiers.
La vue splendide du monde qui va et vie.
Comme j’aimerais les rejoindre maintenant.
Jack Asmo Tous Droits Réservés
très beaux ces vers
ils sont aussi troublant,
sensibles comme le vent,
violent comme la mer,
lorsqu’elle se sait attaquée.
et pourtant si vivant.
Merci beaucoup 🙂