Parfois mon regard s’égare dehors,
d’un air hagard je scrute les gens.
Et d’une étonnante stupéfaction,
je ne ressens ni affliction, ni affection.
Seulement un léger brin d’amertume.
Mais rien pour restreindre ma plume.
La lumière si faible dans ma cage,
m’en fait presque oublier ma rage.
Ici-bas vas le triste fou misérable,
qui gruge l’énergie des détestables !
Quand dors le chagrin sur cette terre torride,
reste éveillé seule solitude de celui qui est aride.
Jack Asmo Tous Droits Réservés