Le feu à tellement tout ravagé qu’il a mainte fois brûlé et cicatriser mes émotions. Mon bien, comme mon mal; aujourd’hui je ne sens plus rien. Tout à commencé avec la découverte d’un univers qui est des millions de fois vide. Et tourne, tourne les faux; puis par la perte subséquente du peu que j’avais et jusqu’au jour ou je l’ai perdu elle. La poutre qui soutenait ma maison, ma personne, mon tout. Ma sœur elle était, grande douleur suivi de peine, de rage, de désire de tuer, de questions sans putain de réponse!
Puis un été un ultimatum lancer à mon autre sœur, ma petite puce. Et elle partit l’automne presque l’hiver suivant. Rien ne m’a guetté, pas de mal. Pour moi elle y était déjà plus. Triste à dire. Des années en vaines dans la futilité déraisonnable. C’est dire qu’il ne me reste plus grand chose à ressentir en moi. Pourtant le mal et les cris sont toujours là, juste masqué dans la tourmente trop grande pour être nommée. Ce qui peut à peine être d’écrit, pire que tout, le silence de mort règne dans mon corps, les connexions oublier.
La première est revenue et bien qu’un tantinet content, je ressens peu. Maintenant grâce au ravage, je me fou si elle ne vient pas pour un temps. Je me fou si elle ne me réponds pas, si elle ne m’entends pas et surtout si elle ne me comprends pas. La t-elle déjà fait de toute façon, je ne sais plus. Aider moi, libéré ce fardeau, redonner moi mes émotions, même maudites ça vaut mieux que rien. Je veut ma rage, cella même qui m’a garder en vie si longtemps. Je veut ressentir ça chaleur à nouveau, ça douleur grandissante.
Jack Asmo Tous Droits Réservés