Je me sens évoluer vers autre chose, de plus grand, selon bon ou pas.
Même si mes peurs me terrasse toujours, je ressens parfois que je veux.
Un jour ma lui montré à cette vie, que je peux la vaincre à son jeu pervers.
Que moi aussi j’ai le droit de vivre bien, en paix et non plus espérer en vain.
Un foutu tourmenté dans sa putain de boite, sans lumière livrer à moi même.
Rejeté par tous, ignoré, criant dans une pièce isoler au milieu de nul part.
Personne pour me voir ni m’entendre, je suis un mort sans perspectives.
N’aspirant même plus à voir la lumière, j’ai même oublié à ce qu’elle rassemble.
Personne ne vois ma souffrance, aveugles et sourds, plus facile pour eux.
Je serais mort si j’échoue, comprenez-vous, tas de fantômes de mon esprit.
Au fond, famille et mon amie, êtes vous réel ou sortez-vous de l’imaginaire?
Si vous êtes réel, c’est vous les fous de rester à rien faire comme des crétins.
À ne pas tendre la main, vous serez bien seuls avec votre conscience au final.
Un jour, peut-être tout ça seras loin derrière, cette torture incessante.
Ce questionnant maudit, cette noirceur interminable et cette attente meurtrière.
Et si ce jour vous m’aimez plus, alors ce jour je vous tuerez tous…

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Un flocon de neige, tombe doucement sur mes lèvres en ce milieu avril.
Neigeux, embrumé, je continu peinard mon chemin dans cette tempête.

En revenant bien au chaud, j’aperçois au travers de la fenêtre du monde.
Cette créature magnifique, assise là au soleil, perdu dans ces pensés.

Somptueuse blondeur, des seins parfaits pointant vers le ciel.
Regardant le vide littéral, fixé et hypnotisé par elle, vaincu.

Des sentiments remontent enfin, cette période trouble s’oublie.
Deux hommes c’est bien beau et excitant, mais loin de la douceur.

Cette subtilité que la femme garde en elle, tout au long de sa vie.
La peur qui éventerait tout homme, elle la dompte passivement.

Soumission calculée, tenant la balance du pouvoir entre ces mains.
Domination de ce membre grandissant, diminuant la vigilance.

Cet air niais qui cache tant de vérité et de compréhension, jouant de tous.
De stratégies parfois malicieuses, compétition peut être malsaine, en elle.

L’âme et le coeur d’un peuple, ce résume bien en un mot; Femme.
Elle qui porte le monde en son ventre, progéniture désemparée, perdue.

Ce sentiment maternel venu tout droit du passé de chacune, commun.
La toute première fois ou elle songe à la sexualité, soudaine peur, la suivra.

Ce battra toute sa vie pour sa place et ce respect qu’elle mérite, véritablement.
La lune ce reflète sur la femme, pour illuminé tout un monde plongé dans le noir.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

J’aimerais agripper le temps pour lui foutre deux trois baffes, pour toutes ces épines qui me transperce le cœur à chaque tic-tacs abominables.

Toutes ces secondes ou je suis tellement seul
Sentir toutes ces minutes maudites
Savoir tout ce temps que l’on perds
Un destin qui est futile, inaccessible
Qui sera médiocre de toute façon
N’ayant pas étudié en rien
Qui veut d’un sombre mendiant
Souffrance de vouloir et rêvé à mieux
D’être connu et reconnu par mes pairs
D’avoir de beaux projets sur quoi travaillé
De vouloir rencontrer d’autres grands esprits
De percé leurs secrets, d’apprendre
De servir ce monde, de servir tous
De vivre bien, tout simplement
De respiré la vie et ces trésors
D’oublier ce tic-tac qui résonne
Un jour maudire le temps car j’en voudrais plus

Voyez-vous? C’est ça qui nous différencie vous et moi. Je souffre tant de l’abandon et de ce silence. Je ne suis pas un monstre mes frères, venez.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

J’étais un homme qui espérait mieux,
un homme qui croyait à l’humain.

Je suis un homme qui voit,
un homme qui aime.

Je serais un homme qui voudra bien,
un homme qui aspira à plus.

Je veux grandir et partager ma vision,
je veux être entendu et compris,
je veux être aimer et respecter, tout bonnement.

Je ne veux pas d’une routine bidon,
je ne veux pas un jour regretter ma vie,
je ne veux plus être le fou, à présent.

Est-ce trop, mon vouloir serait-il trop grand?
Est-ce possible pour celui qui vie dans le néant?
Qui ose, oui ose, encore sentir la vie normale.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Je suis en furie de choses qui ne se peuvent pas, d’éclats de rires au soleil
Je me sens en feu d’une ironie plus que passagère, en mon être
Ce reflux que l’inconscient transmet abruptement au conscient

L’enragé qui sommeillait là au creux de l’arbre, se réveillait brusquement
Un destin qui se tracera encore avec sa puissance dévastatrice
Il n’est pas donné au messager, l’acceptation des défauts d’autrui

D’envies désobligeantes aujourd’hui surprenantes
De rêves perdus dans le feu d’ébats futilement mener
Des regrets absents au cœur de celui qui a vécu tellement

L’expérience d’appréciation des corps mélangés entre eux
De verges hérissés de plaisir pour soi, combien flatteur
De femmes hurlantes de plaisir, des seins somptueux

Neutralité inexistante, exagération est seule permise
Dans cet univers que j’ai construit de mes mains
Donc je suis à présent le seul habitant, nostalgique

Regardant par cet écran de l’espoir vain, teinté de faussetés
Tout ce qu’il me reste pour stimuler mon corps et mon esprit
À vif, criant pour du vrai et des gens que l’on peut aimer

Est venu sous forme de félin, un ange pour me tenir compagnie
Quand la noirceur de l’esprit est trop dense et pénible
Petite joie au grands yeux verts, sachant que je suis bon

Là où tous vois le diable, elle sait que je suis un incompris
Ou tous se sauvent, elle s’assoie me fixant en attente d’une caresse
Les silence règne, en quelques miaulements le brise et l’éloigne

Une route qui n’est pas encore fini, sinueuse, erroné parfois
Mince espoir subsiste au fond de moi, d’apercevoir la lumière
Je me battrais jusqu’à mon dernier souffle, qu’il vienne de moi ou pas

Jack Asmo Tous Droits Réservés