Je suis en furie de choses qui ne se peuvent pas, d’éclats de rires au soleil
Je me sens en feu d’une ironie plus que passagère, en mon être
Ce reflux que l’inconscient transmet abruptement au conscient
L’enragé qui sommeillait là au creux de l’arbre, se réveillait brusquement
Un destin qui se tracera encore avec sa puissance dévastatrice
Il n’est pas donné au messager, l’acceptation des défauts d’autrui
D’envies désobligeantes aujourd’hui surprenantes
De rêves perdus dans le feu d’ébats futilement mener
Des regrets absents au cœur de celui qui a vécu tellement
L’expérience d’appréciation des corps mélangés entre eux
De verges hérissés de plaisir pour soi, combien flatteur
De femmes hurlantes de plaisir, des seins somptueux
Neutralité inexistante, exagération est seule permise
Dans cet univers que j’ai construit de mes mains
Donc je suis à présent le seul habitant, nostalgique
Regardant par cet écran de l’espoir vain, teinté de faussetés
Tout ce qu’il me reste pour stimuler mon corps et mon esprit
À vif, criant pour du vrai et des gens que l’on peut aimer
Est venu sous forme de félin, un ange pour me tenir compagnie
Quand la noirceur de l’esprit est trop dense et pénible
Petite joie au grands yeux verts, sachant que je suis bon
Là où tous vois le diable, elle sait que je suis un incompris
Ou tous se sauvent, elle s’assoie me fixant en attente d’une caresse
Les silence règne, en quelques miaulements le brise et l’éloigne
Une route qui n’est pas encore fini, sinueuse, erroné parfois
Mince espoir subsiste au fond de moi, d’apercevoir la lumière
Je me battrais jusqu’à mon dernier souffle, qu’il vienne de moi ou pas
Jack Asmo Tous Droits Réservés