Un flocon de neige, tombe doucement sur mes lèvres en ce milieu avril.
Neigeux, embrumé, je continu peinard mon chemin dans cette tempête.

En revenant bien au chaud, j’aperçois au travers de la fenêtre du monde.
Cette créature magnifique, assise là au soleil, perdu dans ces pensés.

Somptueuse blondeur, des seins parfaits pointant vers le ciel.
Regardant le vide littéral, fixé et hypnotisé par elle, vaincu.

Des sentiments remontent enfin, cette période trouble s’oublie.
Deux hommes c’est bien beau et excitant, mais loin de la douceur.

Cette subtilité que la femme garde en elle, tout au long de sa vie.
La peur qui éventerait tout homme, elle la dompte passivement.

Soumission calculée, tenant la balance du pouvoir entre ces mains.
Domination de ce membre grandissant, diminuant la vigilance.

Cet air niais qui cache tant de vérité et de compréhension, jouant de tous.
De stratégies parfois malicieuses, compétition peut être malsaine, en elle.

L’âme et le coeur d’un peuple, ce résume bien en un mot; Femme.
Elle qui porte le monde en son ventre, progéniture désemparée, perdue.

Ce sentiment maternel venu tout droit du passé de chacune, commun.
La toute première fois ou elle songe à la sexualité, soudaine peur, la suivra.

Ce battra toute sa vie pour sa place et ce respect qu’elle mérite, véritablement.
La lune ce reflète sur la femme, pour illuminé tout un monde plongé dans le noir.

Jack Asmo Tous Droits Réservés