Maître

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Il a trépassé le temps et le monde, il a chuté…

L’homme grand gouverneur de cette terre, là à poser à son bon plaisir, pour tous. Tas de muscle, affichant sa force. La détermination d’une bête féroce, dans le regard. La furie des générations, passés, actuels, futurs, à jamais compliqué.

Pourtant il si est facile à corrompre, à tromper, à tomber. Il n’est qu’un homme! Vif, à retourné patauger dans sa merde, qu’est sa vie de tout les jours. Il cherche rarement à en exploité le meilleur. Ce contente des restes, des miettes, au profit des puissants, des riches.

Il se soucie de son monde, de quoi que ce soi, que si ça lui apporte quelque chose, fausse conscience sociale,  naturel. Tente de nettoyer, maladroitement, son âme, scrupules, retenu absents. On aimerai le croire doté de raison, mais en détruisant ces lieux, il se tue tout seul, sans même sourcilier.

Erreur, qui sait, et si une autre race avait évolué? Question que la nature ce pose, calculé, ou pas, personne ne saura. L’homme est un peureux, crainte de se qui est comme lui, ou supérieure. Si les lézards ce mettaient en évolution, une journée, tout ce qui ressemble à un lézard, de près ou loin, serait mort.

Ces guerres, il frappe des enfants sans armes, à coup de fusils, de bombes, les gens applaudissent, chose normal, divertissante. Sensationnalisme dépasse le tolérable, l’on ne se surprend pas de manger du popcorn, devant les nouvelles, à écouter des histoires de viols. L’homme et sa virilité…

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Ingénu

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Ces yeux naïfs perdus dans des pensés. Mais à quoi pense-tu jeune ami? Couché là sur ce fauteuil en position très confortable, détendu. Combien a tu eu de conquêtes et combien en aura-tu encore, avec ce si joli visage. Les femmes tomberont toutes dans tes bras, si c’est ce que tu aime. Ou peut-être les hommes, ils ne te résisteront pas plus.

Tu ne connais pas encore la tristesse de ce monde, ni les défis. Peu de choses de la vie, en sommes. Tu est là le regard plein d’espoir en ne te doutant pas du néant, dans lequel est plongé ce monde. Combien de temps encore avant que ces yeux deviennent vides, combien en faut t-il pour passer de l’innocence à la réalité?

Tu est là du haut de tes dix-huit ans, la vie devant toi. Ira tu plus loin que ceux avant toi, ou restera-tu sur le quai, comme eux? Où finira ta route, sera t-elle heureuse ou remplis de défaites? Moi en te regardant songez, plein d’insouciance, en cet instant, je sais que tu feras ton possible. Et puis quelqu’un finira bien par faire mieux..

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Hommasse

Être de principes, de droiture, d’honnêteté et d’honneur.

Mais à quoi cela sers-t-il rendu si bas,
misérablement couché par terre.

Quelle utilité, si je ne peux prouver à quiconque ce que je vaux.
Même pire, passé pour un égocentrique fini aux yeux de tous.

Mésinterprétation de tout ce que je suis.
L’on me pense bourru, alors que je suis sociable.
L’on me dit misanthrope, quand je demeure vrai.
L’on me sait têtu et c’est bien là leur seul vérité.

Ne pouvant rien changer en ces temps bien sombres.
Je vais leur laisser tout ce que je suis et ce que je peux.
Puisse mes idées servir ce monde, plus que moi.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Lumière de ma vie

Où est tu quand je dors,
si je rêve émerveiller ou déçu

Où est tu quand je joue,
si j’abandonne épuisé ou vaincu

Où est tu quand je vie,
si je me meurs de solitude

Où est tu quand je souffre,
que j’ai peur d’un lendemain

Où est tu quand j’espère,
que je réussi à vivre finalement

Où est tu quand je chute,
que j’exprime mon mal à tout vent

Tu est bien là, à mes cotés
Fidèle, comme personne ne sait l’être


Blog Libas

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Cauchemar

Ce cauchemar terrible, fait lorsque je n’avais que quatre ou cinq ans, laissez moi vous le raconter;

Je ne me souviens pas exactement du début, ce donc je me souviens, c’est qu’il y avait de grosses presses. Servant a aplatir le visage des gens, c’était une nouvelle mode obligé. Mais la majorité des gens si pliaient de bonne volonté, en étaient même heureux. Pour ceux qui ne voulaient pas, des gardes les forçaient. Les eux après les autres volontaires ou pas y passaient, moi je parvenais à leur échapper et je cherchais ma mère.

Je courais, je regardais partout, tout n’allait pas assez vite. Je la voyait au loin parfois, mais rendu sur place, elle ni était déjà plus! Quand je suis finalement parvenu à elle, elle avait déjà la tête en position dans la machine, j’essayais de tout arrêtez. Des gardes me retenais, ils étaient sept ou huit et moi je ne cessais pas de me débattre.  Je ne suis pas parvenu à tout stopper et il lui est arrivé la même chose qu’aux autres.

C’était terrifiant de voir le visage de sa mère ainsi. Je pleurais anéanti dans mon rêve, je disjonctais vraiment. Puis je me suis réveillé en sursaut, couvert de sueur, incapable de me rendormir ou de trouver le calme.

C’est troublant de faire un tel cauchemar enfant, qui vous restera collé à la peau. Qui a même survécu à deux décennies, au travers de ma mémoire.  Il me hantera toute ma vie, on ne peut pas oublier ce genre de chose.

Jack Asmo Tous Droits Réservés