Quand je me vois en mauvais, je souris bêtement, croyant que ça suffira à me protéger de tout. Lorsque je constate la noirceur de mon regard, je sais ou je crois que j’ai raison, de me considérer maître de tout.
Quand je me vois faible et muet, lorsque je constate cette lumière, je vois ma faiblesse, cette même défaillance qui m’a conduit où je suis. Dans une torpeur plus sombre encore.
Je me regarde et je sais que ces failles sont moi-même, au final qui suis-je, mon mauvais, mon bon ? Lequel des deux est responsable de me garder au fond du baril.
Grande question mes amis.
Cette dualité est bien vraie et prenante, je ne sais gère si un jour je parviendrais à m’en défaire. Ces allusions que le bien est toujours faible, qui me poursuit en mon âme, ne sont peut-être que le fruit d’un mal croissant et subjacent ; qui grandit à demi caché et nourrit. Qui prend de plus en plus d’espace en cet être. Délire d’un instant de paresse.
Parvenir a prendre de veilles élucubrations et en faire quelque chose de plus concis, n’est certes pas facile, vous aurez remarqué que la formulation de ce qui est dit en début de ce texte, est très primaire, résultant d’une progression antérieure de mon écriture. Toujours a cherché des réponses ce sacré Jack.
Mais Jack, pour vous est-il bien ou mal, dans le vrai ou le faux ?
Jack Asmo Tous Droits Réservés
Je suis sans mots pour découvrir ton univers…..Good job