Il ne faut pas s’arrêter, jamais, toujours continuer.
L’arrêt c’est la mort, la mortissure, l’absence.
Lorsque l’on cesse d’apprendre, de vouloir, de vivre.
Cesse de se mouvoir, nous sommes dans nos tombes.
Tombeaux avec des murs de 8 pieds, en ville, dans des boites.
Sont les pensées du recul, tous les jours le constat.
Je suis toujours mort, inexistant, même en marchant.
Le temps est l’ennemi de l’homme, dans ses songes.
Il est le cri qui nous rappelle qu’il est trop tard.
Pour espérer, pour connaitre, pour changer, pour respirer.
Mais est-ce vraiment la fin et devons-nous y demeurer ?
Jack Asmo Tous Droits Réservés