Les douces roses cachent bien des maux sous leurs épines.
Ô douce rose, parfois pour fleurir la vie, il faut les engrais de sœurs égarées. Perdu dans le temps, au cours d’une vie.
Que l’on ne s’y trompe pas, une forêt ravagée par le feu est enfaîte une forêt qui renaît plus forte.
S’épanouir de nouveau, à travers la destruction et l’apparente absence de vie. Il n’y a pas meilleur.
De la mort, n’est pas la fin.
L’acharnement est la surdité volontaire des êtres, autres, face au chagrin, c’est un propre que pour soi-même.
Connu de tous et répéter mainte fois, ils n’entendent, ni ne voient les évidences. Je voudrais tant comme cette rose ;
Le crié à tout vent, mais un certain respect me guette, également.
Jack Asmo Tous Droits Réservés