Fenêtre ouverte, stores relevés, brise tranquillement me rejoins.
Belle journée hivernale me rassure bien, en ma demeure.
Froid à peine pénétrant, saisi puis calme mon corps.
Odeurs d’hiver, caressent mes narines de somptueux parfums délicats.
Les écureuils énervés, courent sur les câbles électriques suspendus.
Ils s’amusent tel troubadours au temps jadis, chantaient, dansaient au gré des vices.
Mémoires physiques des peuples se souviennent malgré elles, des tords subits.
Histoire se nomme l’étude de ces mensonges tâcher de sang.
Cécité, résume l’attitude de l’humain face à sa destiné médiocre.
Comprendront-ils un jour, que le faux d’hier se répercutera toujours.
N’ayant pu apprendre de nos erreurs passées, dissimulés mesquinement.
Nous subirons à jamais et les menteurs eux, règnent en maîtres.
Que dictateurs il existe ci-bas, mais vous refusez de le voir.
Courte pensée grâce à cette brève ouverture sur ce monde.
Jack Asmo Tous Droits Réservés
toutes tes poèmes sont splendide bravo!
Vraiment merci 😀