Lune d’automne qui sous un ciel gris azur,
se souvient oublier des murmures,
que jadis elle soufflait tendrement aux impures.
Éclair d’été, vif comme le vent qui souffle au aboie,
nous passionne en remuant ciel et terre avec effroi,
sublimement intime nous caressant d’amoureux émoi.
Soleil de printemps qui illumine cette terre torturé,
tentant d’ensoleillé le cœur des hommes dépouillés,
de toute amabilité à ressentir ce monde et sa tranquillité.
Noirceur d’hivers qui masque tour à tour les hautes cimes,
torpeur d’une nuit blanche féerique scellé dans l’abîme,
que trop on vue comme une infime pâleur illégitime.
Jack Asmo Tous Droits Réservés
bravo por votre blog et pour votre esprit poétique. cependant j’aurais si vous le permettez, un conseil qui ne peut que vous aider.
Attention aux accords des verbes et participes passés.
Bonne continuation et encore félicitations
brigitte