Je voudrais tant pouvoir continuer de m’épanouir.
Je voudrais tant respirer normalement comme un homme libre.
Je voudrais tant tout oublier, effacer ces tourments qui me font souffrir.
Mais non!
J’étais déjà à terre et misérable, détruit par toutes ces années de douleurs! Et tu es venu t’acharner sur moi, de toute ton insouciance, sans raisons véritables.
Tellement de douleur, composer de rage, de peine et d’un stress démesurément pénible et souffrant.
Après tout qu’est-ce que je fait ici sans toi? Question provoquant un grand mal!
Pourquoi? Ai-je crier emprisonner en moi même et déchu par des artifices, qui ne sont que trop passager! J’ai tant perdu…
Et quand soudainement une lueur d’espoir pointe enfin à l’horizon, que de dérision j’ai trouvé…
Mon cœur lui reste à vif et blesser.
Pourtant je ne cesse pas de t’aimer, même si l’envi de t’emmener avec moi, de l’autre coté du mur ma jadis envahit.
Et que de toute la force de mon âme j’ai lutté pour retenir mon corps de te punir.
Tel un phénix, renaîtrons-nous un jour de nos cendres?
J’ose espérer que dans un futur pas trop lointain, nous reviendrons un tout, tel qu’il devrait être.
Jack Asmo Tous Droits Réservés
Bonjour,
Ton écrit est très touchant 😉 j’aime te lire, celui ci me fait penser à mon ami decede il y à bientot 28 mois
amitiés