Lumière de ma vie

Où est tu quand je dors,
si je rêve émerveiller ou déçu

Où est tu quand je joue,
si j’abandonne épuisé ou vaincu

Où est tu quand je vie,
si je me meurs de solitude

Où est tu quand je souffre,
que j’ai peur d’un lendemain

Où est tu quand j’espère,
que je réussi à vivre finalement

Où est tu quand je chute,
que j’exprime mon mal à tout vent

Tu est bien là, à mes cotés
Fidèle, comme personne ne sait l’être


Blog Libas

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Cauchemar

Ce cauchemar terrible, fait lorsque je n’avais que quatre ou cinq ans, laissez moi vous le raconter;

Je ne me souviens pas exactement du début, ce donc je me souviens, c’est qu’il y avait de grosses presses. Servant a aplatir le visage des gens, c’était une nouvelle mode obligé. Mais la majorité des gens si pliaient de bonne volonté, en étaient même heureux. Pour ceux qui ne voulaient pas, des gardes les forçaient. Les eux après les autres volontaires ou pas y passaient, moi je parvenais à leur échapper et je cherchais ma mère.

Je courais, je regardais partout, tout n’allait pas assez vite. Je la voyait au loin parfois, mais rendu sur place, elle ni était déjà plus! Quand je suis finalement parvenu à elle, elle avait déjà la tête en position dans la machine, j’essayais de tout arrêtez. Des gardes me retenais, ils étaient sept ou huit et moi je ne cessais pas de me débattre.  Je ne suis pas parvenu à tout stopper et il lui est arrivé la même chose qu’aux autres.

C’était terrifiant de voir le visage de sa mère ainsi. Je pleurais anéanti dans mon rêve, je disjonctais vraiment. Puis je me suis réveillé en sursaut, couvert de sueur, incapable de me rendormir ou de trouver le calme.

C’est troublant de faire un tel cauchemar enfant, qui vous restera collé à la peau. Qui a même survécu à deux décennies, au travers de ma mémoire.  Il me hantera toute ma vie, on ne peut pas oublier ce genre de chose.

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Loyauté

Le temps qui nous est apartie mes frères
Beau discours qui n’existe pas en eux
Le temps, seule vraie mesure fiable décidant

Nous coulerons ensemble mes frères
Autre donnée tragiquement erronée
Gens, suprêmes égoïstes, eux avant tout

Veulent leur monde beau et propre
Ne réalisent pas qu’il est sale et misérable
Couvert de cheap babioles éclatantes

Mascarade de l’humanité dégringolant
Triste résultat de l’égocentrisme primaire
Nous rappellerons un jour notre chute

Loyauté devrai dabors être vers notre lieu
Logique on croirait, car on ne peut pas le fuir
Contrairement a la populace en détresse

Fermez-les vos yeux et vivez vos vies, si ça vous dit
Un jour pourtant, ça vous sautera en pleine face
Comme inévitable et les réponses viendrons

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Paysage matinal

Blog Paysage Matinal

Le temps, merveilleux paysage de la vie.
Au matin étourdi, d’un bleu si magnifique.

Bordés de nuages dans lesquels il fait encore nuit.
Plus sombres, d’un gris qui s’enfuit vers le jour.
Soleil qui ne ce fait pas voir en cet instant de calme.
Ce rosé indécis se pointant tout juste derrière moi.
Teinté d’orangé sublime annonçant le retour du roi.
Cette boule de feu qui soudain apparaît imperturbable.
Les nuages subitement figés par sa splendeur royale.
Ce maître incontesté qui a stoppé le temps pour nous.
Tout est visible à présent, ce qui était caché ne l’est plus.
Le temps a encore oeuvré silencieusement pour tous.

Et le jour c’est levé comme à son habitude sur ce monde.

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Suis-je colère?

Blog Fist of Glory

Si les gens connaissaient l’étendu de ma rage, ils se cacheraient.
Si le monde savait , ils n’en feraient rien, car ce sont des lâches.
Si tous me comprenaient, alors là, ils auraient raison de fuir.

Furie, est le nom que l’on donne à cet état maudit.
Cette bombe prête à exploser à tout moment.
Pourquoi ces gens simplets en rajoute t-ils autant?

Fous, fous, ils sont ces macaques dépourvus de raisonnement.
Ne savent-ils pas que je peux à peine me contrôler à présent.
Je veux seulement vivre tranquille, non pas dans le silence.

Bientôt il ne restera plus rien de moi, je me serais évaporé.
Chaque jour à force d’être si seul, elle grandit cette rage dévolue.
Il y aura qu’un corps vide, tenu debout par la chaleur du mal absolu.

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