Québécois souviens-toi

Nous, les Québécois, n’avons pas à rougir, de qui nous sommes, de nos êtres et notre histoire. Que nos patriotes ont si ardemment défendu et payé de leurs vies. Face à ces Français qui nous on abandonnés, de ces Canadien soumis et de ces Anglais qui en ont profité. Nous avons le droit d’être fier de notre culture.

Je me souviens que l’on c’est toujours tenu debout.
Je me souviens de notre ténacité à résister à l’absurde.
Je me souviens de notre vigueur et de notre bravoure.

Je constate ce peuple unique et fier de lui même.

J’espère que dans un futur proche, l’on sera respecté, dans nos mœurs et coutumes. Autant que dans qui l’on est, que plus jamais l’on se fasse marcher sur le dos.

Esseulé

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Seul perdu dans la nuit, assis là un instant pour me reposer, avec comme unique réconfort cette lumière. Brillante dans la nuit, tel un guide posé à cet endroit pour moi.

Abandonner, laissez à moi même, seul avec mes pensées.

Perdu dans un cauchemar sans fin, verrais-je un jour la lumière. Je me demandais plier en boule, pleurant d’être si seul. Muet, re-vissionnant ma vie dans ma tête, me questionnant.

Un chien au pelage noir comme la nuit, aux yeux vides, d’allure d’un doberman. Affamer, rejeter lui aussi, en quête de survie, tout comme moi. S’assoie, puis me fixe, l’air de comprendre ce que je souffre. Est-ce donc lui le chien des enfers venus me chercher?

Il me faut un univers qui soi vrai et non plus remplis de faux.

J’ai tant à leurs apporter, mais qui s’en soucie, même de loin l’on peu faire de grandes choses. Ils aiment mieux tous me regarder mourir, plus facile de critiquer après, que d’aider pendant.

Fini je suis aux yeux de tous et de la vie. Rien ne me contredit sur ce point. Triste, nuit et jour, esseulé, sans famille ou amis. Pas une seule âme pour me distraire de mon mal. Fatiguer des douleurs physiques et mentales croissantes.

Des jour je m’arracherais le visage, en étant personne, un défiguré, peut-être l’on m’aimeras plus. En inconnu, je ne pourrais pas être plus mis-à-part qu’en étant moi.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Maître

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Il a trépassé le temps et le monde, il a chuté…

L’homme grand gouverneur de cette terre, là à poser à son bon plaisir, pour tous. Tas de muscle, affichant sa force. La détermination d’une bête féroce, dans le regard. La furie des générations, passés, actuels, futurs, à jamais compliqué.

Pourtant il si est facile à corrompre, à tromper, à tomber. Il n’est qu’un homme! Vif, à retourné patauger dans sa merde, qu’est sa vie de tout les jours. Il cherche rarement à en exploité le meilleur. Ce contente des restes, des miettes, au profit des puissants, des riches.

Il se soucie de son monde, de quoi que ce soi, que si ça lui apporte quelque chose, fausse conscience sociale,  naturel. Tente de nettoyer, maladroitement, son âme, scrupules, retenu absents. On aimerai le croire doté de raison, mais en détruisant ces lieux, il se tue tout seul, sans même sourcilier.

Erreur, qui sait, et si une autre race avait évolué? Question que la nature ce pose, calculé, ou pas, personne ne saura. L’homme est un peureux, crainte de se qui est comme lui, ou supérieure. Si les lézards ce mettaient en évolution, une journée, tout ce qui ressemble à un lézard, de près ou loin, serait mort.

Ces guerres, il frappe des enfants sans armes, à coup de fusils, de bombes, les gens applaudissent, chose normal, divertissante. Sensationnalisme dépasse le tolérable, l’on ne se surprend pas de manger du popcorn, devant les nouvelles, à écouter des histoires de viols. L’homme et sa virilité…

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Ingénu

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Ces yeux naïfs perdus dans des pensés. Mais à quoi pense-tu jeune ami? Couché là sur ce fauteuil en position très confortable, détendu. Combien a tu eu de conquêtes et combien en aura-tu encore, avec ce si joli visage. Les femmes tomberont toutes dans tes bras, si c’est ce que tu aime. Ou peut-être les hommes, ils ne te résisteront pas plus.

Tu ne connais pas encore la tristesse de ce monde, ni les défis. Peu de choses de la vie, en sommes. Tu est là le regard plein d’espoir en ne te doutant pas du néant, dans lequel est plongé ce monde. Combien de temps encore avant que ces yeux deviennent vides, combien en faut t-il pour passer de l’innocence à la réalité?

Tu est là du haut de tes dix-huit ans, la vie devant toi. Ira tu plus loin que ceux avant toi, ou restera-tu sur le quai, comme eux? Où finira ta route, sera t-elle heureuse ou remplis de défaites? Moi en te regardant songez, plein d’insouciance, en cet instant, je sais que tu feras ton possible. Et puis quelqu’un finira bien par faire mieux..

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Hommasse

Être de principes, de droiture, d’honnêteté et d’honneur.

Mais à quoi cela sers-t-il rendu si bas,
misérablement couché par terre.

Quelle utilité, si je ne peux prouver à quiconque ce que je vaux.
Même pire, passé pour un égocentrique fini aux yeux de tous.

Mésinterprétation de tout ce que je suis.
L’on me pense bourru, alors que je suis sociable.
L’on me dit misanthrope, quand je demeure vrai.
L’on me sait têtu et c’est bien là leur seul vérité.

Ne pouvant rien changer en ces temps bien sombres.
Je vais leur laisser tout ce que je suis et ce que je peux.
Puisse mes idées servir ce monde, plus que moi.

Jack Asmo Tous Droits Réservés