J’ai oublié la vie, perdu cette faculté.

Triste histoire qu’est celle de ce gamin, qui ne pouvait pas porter le monde sur son dos. Qui s’écroula bien vite sous la pression et sombrât dans la démence, d’avoir réalisé ce qu’est l’humain. Il aurait tellement voulu que l’harmonie total, soi possible. Il criait, mais personne ne l’écoutait. Croyant que ce n’était qu’un autre petit garçon qui criait au loup, pour s’amuser. Mais les loups sont bel et bien venus, il se sont dissimuler dans le cœur des hommes, attendant le bon moment pour le dominer, le poussant à la destruction et l’égocentrisme. Le pouvoir, n’est qu’une arme de servitude. Rare sont les hommes qui ne croulent pas sous, elle gruge leurs âmes, en ne laissant rien. Pire sont ceux qui les suivent sans rien dire. Où sont leurs raisonnements ? Ils détruiront ce monde et personne ne dira mot. Comment voudriez-vous que ce gamin et même tous les gamins de ce monde, reprennent confiance en un avenir meilleur.

L’humain est mort.

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Temps magique et gracieux que sont, le printemps et l’été.
Tout renaît soudainement. Les animaux s’exposent de nouveaux.

Il y a plus d’humains qui traînent dans les rues aussi.
Mais ils ne sont pas plus porter à socialisé, malheureusement.

Au final, une période grandiose pour la nature, des changements marquant. N’aidant pas l’homme à voir plus clair, ni au Jack d’avoir plus de visiteurs.

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Le temps il te suit toujours.
Partout, en tout et pour tout.
Il est l’a lorsque tu souffres.
Il est là quand il te prend.

De ta pré-naissance jusqu’à ta mort.
Tout le long, souvent tu le maudiras.
Ô oui, lui accablant bien tes malheurs.

Tu hurleras, criera, pleurera, fanera…
Il continuera son travail impassible.
Substance ignoble nous croirons à tord.

Pourtant, partie de la vie;
L’une des dernières vérités.
Tant qu’il est, nous espérons.

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1. *Le temps original (cliquez)
2. *Le temp 2, un autre texte (cliquez)
3. Le temps troisième de nom(Cliquez)

Moi, moi, moi et moi
Tel est ce monde ?
Moi, moi, moi et moi
Non tel est l’humain

Nous, nous et nous
Pour la futilité, oui
Nous, nous et nous
Pour s’aimer, non

Moi et moi demandons
À quand la raison vraie ?
Moi et moi demandons
Où la fin des inepties ?

Nous espérons bien
L’acceptance de l’aide volontaire
Nous espérons bien
Des pas dans la seule direction

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Le banc, plusieurs s’y arrêtent. Toutes générations il voit passer.
Jeunes et vieux. Voit naître et mourir les êtres. Subit le temps.
Sans broncher, sans rien demander. En hivers délaissé.
Bien, même trop souvent. Parfois même ranger, pour perduré.
Qu’ils servent plus longtemps à tous. Mais jusqu’à quand ?
Lorsque des gens en auront marre de lui, pour un plus neuf.

Drôle.. L’on traite les objets, tout comme l’on traite les hommes.
Nous les usons jusqu’à la corde, puis seulement là.
Nous acceptons de nous en départir. Alors que plus tôt..
Aurait été plus humain. Tant qu’à l’abandonner à son triste sort.
Sans rien, sans épaules pour pleurer, entourer d’ingratitude.
Tans qu’à ça, à quoi bon s’acharner ? Demande la raison.

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