Ordre nouveau

Faire du neuf dans sa vie, recommencer sous d’autres formes, ne fait pas toujours du tords.

S’oublier quelque peu, l’instant de découvrir si nous pouvons être différent, mieux, pire, autre.

Sans se joué des ceux et celles qui vous appuient bien, à différent niveau dans cette vie, la vôtre.

Jamais prisonnier des carcans humains, je m’en suis bien garder loin, très loin, jamais ressenti l’étreinte de la différence; À prime à bord, bien chanceux parmi les miens. L’acharnement par contre de bien des choses, tel que la solitude, ça oui par contre, de l’emprisonnement qu’est l’agoraphobie donc je me libère de plus en plus. Des jours, surtout dernièrement, malgré toute mes évolutions, j’ai de plus en plus l’impression et le fort sentiment d’écrire pour refermer les livres de ma vie. Ces envies de me raconter dans toutes ma vérité et mes facettes sombres, bien plus que n’importe qu’elle dépression que j’eus croisé. Ces désirs de laissé éclater au grand jour toutes les pourritures d’avilissement qui me taraude.

Tanné de jouer le bon toutou, alors que ce monde ne récompense les bons que s’ils rapportent quelque chose, comme des chiens asservies. Les questions sont toujours en mon esprit, il ne cesse jamais de tenter de raisonner ce monde, chose bien impossible. Comment trouvez du sens à raisonnablement, la futilité d’une action, il n’existe pas de réponse aux actions humaines outre que c’est pour eux-même. Voilà tout, je le sais depuis tout jeune, pourtant je cherche quand même, au cas ou il y aurait de l’espoir pour mieux, un quelconque signe là dehors, que l’humain n’est pas juste un grand taré, vivant avec l’impossibilité d’évolution. Stagné, dans une marre de merde !

Et que dire de moi, ne suis-je vraiment mieux ?

Je les écrirais en ne me soucient pas de qui tombera dessus, de telles dépravations.

Humain je suis bel et bien, mes frères…

De plus que j’ai, pour en rajouter une couche à mon désarroi, le sentiment de « choké » ma vie; Pour reprendre un terme populaire. En ne finissant pas les trois textes de ma vie, qui sont en attentent depuis plus d’une année. Au départ je n’avais mis que des extraits, le temps qu’une folle me lâche et qu’ils se retrouvent plus loin sur mon blog. Maintenant je n’ai guère plus de raison, outre le manque de courage. Je me sens faible, dans cette situation.

La vie continue et moi je trouverais bien à mettre tout cela en ordre.

Je l’espère..

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Chute

Le temps passe et le sombre de mon esprit, ne fait que s’accentuer. Je n’ai jamais crains les monstres, ni les films d’horreurs, car il y avait déjà plus sombre dans mon esprit. Du moins un cauchemar terrible vers quatre ans, que j’ai raconté par le passé. Du coup vers cinq ou six ans lorsque nous allions chez la soeur de ma belle-mère écouter des films d’épouvantes, toutes la nuit, je ne craignais pas.

Cette noirceur intérieure, qui évolue sans cesse, explique bien pourquoi dernièrement ce qui serait une terreur nocturne grave et troublante, pour le commun, devient alors pour moi un très beau rêve, que je perpétue dans mon imagination au réveil. Jusqu’où un être peut noircir, jusqu’où il peut aller s’il ne se souvient pas d’aimer, les êtres, c’est en apparences semblables..

Car avec l’oublie d’aimer, ouvre la porte vers la dépravation et les perversions. L’égocentrisme de l’être dans l’abstraction de la douleur des autres. L’empathie est une chose qui disparait et ce fade, avec le temps, quand ce n’est pas déjà une donnée absente au départ. C’est bien car je chute que je peux encore user de ma raison, pour le raconter.

Tant que ma logique est, tout va. Mais le jour où elle disparait ou réalise en soi que, ces complices de l’ineptie ne le récompenseront jamais d’être bon et que les messages se transmettent souvent mieux dans la violence. Sous la rage les gens ne peuvent bien qu’être honnête et cela est une grande vérité, malheureusement, de ce monde.

Mais où s’échouera le fou, le poète, l’écrivain, le visionnaire, le réflexionnaire d’un monde déchu.. Ne pas confondre le pessimiste et le fataliste, du raisonnement. Que feront l’optimiste et le sain pour lui, pour eux-mêmes ?

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Pensées au repas marital

La cacophonie d’un moment, d’une féerie, parfois douteuse, parfois profonde. In-extrémiste sont toujours les hommes, confiant, de devoir être ce qu’ils ne nécessitent pas.

Le mariage, un leur, une fable, un beau moment certes ; Mais ô combien discutable. Une réunion bien utile, qui ne se produirait pas en d’autres termes. Des gens que nous n’aurions pas revus, voir même des lieux, des endroits revisités.

Une salle comble, des sons inaudibles, des serveuses en sueur, tel est le topo de cet instant. Tac, tac, tac, le bruit forçant les mariés se lever devant tous, pour un baiser ; Mais où le discoure ? La caméra a bien capté tous les instants et les non-dits, comme les humains agissent souvent à demi-mesure.

Nous verrons bien où nous mène ce moment de fête.

Jack Asmo Tous Droits Réservés