Petite chansonnette du lundi après-midi

J’ai envie de péter, j’ai envie de péter
De faire des bulles
Des traces de brakes
De tout déchiré
Dans un soupir
Nauséabond

Parfois c’est parske j’ai envie de chier
Si c’est pas trop mou
sa demeure bien là
Dans la petite cabane
Derrière l’anus-porte
À merdeeee

Si par malchance ça sort
Une raie humide
Des sous-vet souillé
une odeur persistante
Rien à faire y faut s’laver
Ou s’parfumer plus fort

À suivre…

Ou pas !

Déraison

Je reconnais volontiers n’être qu’un lâche, un paresseux ; non je ne prendrais pas les armes pour combattre la déraison Syrienne, même si cette anarchie me ronge au vif, moi porte-étendard de la raison, moi le fou à qui la raison murmure de temps à autre. Je ne me lèverais même pas de cette chaise d’ordinateur pour dire NON. Je suis humain, vrai, comme tous les autres, je regarde sans rien faire, comme tant de génération l’on fait avant moi. Pourtant, la raison ne commande pas le sang, non, elle réclame qu’un peu de temps. Si tous, le plus nombreux puissions nous être, sortions sur nos trottoirs, manifester, sans bouger, ni parler, juste demeurer là, les gouvernements n’auraient plus d’autre choix que de réalisé que nous sommes contre et qu’ils commenceraient désavantagé au jeu de l’hypocrisie, oups, lapsus, de la politique s’ils n’essaient pas d’au moins faire semblant d’y faire quelque chose. Imaginés plusieurs gouvernements de différents pays, font semblant de vouloir faire quelques choses, ça leurs foutraient les chocottes à ces réfractaires de la raison.

Mais bon, notre utilité n’est pas de réfléchir, nous peuple, nous moutons, mais de suivre les faux bergers. Dommage tout de même…

« Seuls les morts ont vu la fin de la guerre. »

Platon

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Pensée du soir

J’aimerais croire, voir rêver, qu’il y a mieux là dehors au loin, une race ou une entité qui mérite de vivre. Dans tout cet univers nous ne sommes pas seul, peut-être sommes-nous une expérience ratée ou un amusement quelconque, pour des êtres plus stables et concis. Mais hélas au même titre que l’humain ne peut que créer que ce qu’il voit et dans ce qu’il est, je crains fort que cet univers, soi lui aussi tout autant archaïque que nous. Sous ces belles apparences de suprématie impartiale et d’allure parfaite.

Que reste-t-il au songeur, lorsque ses rêves s’évaporent à chaque tombé de nuit et que la réalité revient le hanté ?

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Citation #14

 » Il n’y a pas que des accents de lieux, mais d’époques aussi.  »

Je rajouterais, écouter le temps nous porté ses ritournelles et ses tournures de langage, dans le temps éparpillé. Nous rends nostalgique d’époques que l’on connue, ou pas, la nostalgie est un état de l’être, de vouloir comprendre et ressentir un temps, que nous l’ayons vécue ou pas.

Jack Asmo