Texte du soir

Petit texte du soir, sans trop de prétention, écrit ainsi, inspiré par ce qui m’entoure.

Ce soir je suis bien heureux de ma vie, triompher d’un ennemi vorace dans un lieu désenchanté, quelques années mégabitiennes plus loin, dans un autre vide, à coter de la vie telle que coutume au travers de cet écran. Comme tous vaincre m’importe, mais moi je défends parfois la raison, pour tous, nommé faible par ceux qui craignent surement plus que moi la vie, car je m’inquiète de mes semblables. Ressentir, vivre, s’exprimer n’est pourtant pas du domaine du faible, ni de celui du lâche, car le faible les ignorent et le lâche s’en cachent, pour ne pas devoir les raisonnés, les comprendre et au final les acceptés.

Toujours est-il que le joyeux troubadour que je fais ce soir en écoutant de la bonne musique et jouant à un jeu plaisant, dois maintenant dire bonne nuit il est l’heure du dodo.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Sombre nuit

J’ai beau y pensé, mais l’endroit le plus sombre de ce monde, même de cet univers, demeure bien dans l’esprit humain. De tout ces monstres que l’on imagine, voir que certains deviennent, que d’autres décortiquent. Chaque humain est bien seul dans son esprit, cette solitude qui nous suis tous, ce grand vide, cette connaissance de l’absence. Qu’il comble avec de nombreuses choses et personnes d’apparats, car combien comptent vraiment au final pour lui ? Peu, voir aucun sauf lui-même parfois, dans certains cas même soi n’est pas. Et que dire encore, lorsque l’on se réveille d’un rêve plus que gore, remplit de déformations, d’un monde en guerre, de viols collectif, d’acceptation de cette démence ou tous les personnages de ce lieu sont tissés dans l’absurde et pourtant, leurs émotions et quêtes est si forte, une guerre infini, pour des bagatelles que l’esprit oublie. S’éveiller au matin et être content du divertissement d’une nuit, je suppose que là se retrouve bien le début de la folie, que l’on peu à raison quantifier. Mais dites-moi, sommes nous vraiment là dans l’imaginaire absolu, regardez ce monde un peu..

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Moment de réflexion

Vers un autre sujet, dans la continuité de la vie.

L’autre jour en téléchargeant un film X, pour la déconne.
J’ai été surpris des révélations.
Moi l’habitué des films glauques, sombre, dément.
Ne ressentant pas la même chose que tous face à eux.
Toujours à côté des autres humains, un être très unique je suis.
Voilà que je suis tombé sur un autre de ces films.
Me ramenant à moi, me rappelant un passé trouble.
Dans les sombre nuits, à se donner, dans le silence et l’exagération.
Dans des lieux dépourvu de charme et de goût. Oui !
Toujours à côté de la vie.. Toujours dans le noir la nuit.
Cette vie et ces lieux aurait effrayé, n’importe quel être normal.
Mais voilà quand un instant, ils m’ont manqué.
Cette vie présente, en tentant d’être dans la lumière.
N’est pas totalement moi. En fait c’est plus un but, voir un rêve
C’est ce qui m’a inspiré ma dernière citation ;

“Quand les êtres naissent, ils viennent avec un karma, une prédisposition. Ceux qui sont sombres, le sont en tout temps. Lorsqu’ils baisent, qu’ils pissent, qu’ils mangent, qu’ils grandissent, etcétéra. Ils ne le deviennent pas soudainement, suite à un intense malheur, ou d’une chute aux enfers. Ils y étaient déjà au départ.

Tant qu’à savoir si nous pouvons en changer, cela est hors de ma compréhension pour le moment, qui est à la constatation et aux révélations. »

Je ne sais plus, je suis troublé, de cette réponse absente.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Malsain

Je me souviens que j’ai attendu toute ma vie, du moins une bonne partie. Jusqu’à l’abandon. Après des gens qui n’en avaient rien à foutre de mon existence. Ma famille, cousins, tantes, oncles etc.. Faisant bien malgré-moi partie de la catégorie de gens avide de connaître leur histoire et de la partager avec les siens. Alors que comme écrit dans « famille » la majorité des gens eux font partie de la catégorie « je vis pour moi et ma famille immédiat » et encore là, parfois ils n’y arrivent même pas.

Ce monde… Non ces humains ou « moi-moi » j’ai eu amplement le temps de les observer cette passée décennie. Réaliser tout ce qu’ils sont en fait. Leurs indifférences, leur lâcheté. Oui, j’ai vu, compris et souffert par elles. Jamais rien n’excusera les principes d’absence de logique, sur lesquels est battit l’humain.

Mais même moi ! Sans cet isolement, sans cette souffrance, cette absence de vie. Ne serais-je pas au même endroit et comme eux, sinon ?

Ça fait peur de penser que sans la douleur ramenant au monde et donc à la raison, je serais un autre individu.

Comment accepté un monde après l’avoir réalisé et tellement endurer ? Je n’oublierais jamais, sachant cela quoi faire ?

L’une de mes amies, l’autre jour m’a dit que j’avais beaucoup plus d’instinct de survie que je le pense. À toujours trouvé de l’argent ou des solutions, voir raisons de continuer, même au plus mal. Quand même étrange, que quelqu’un pense cela de moi, ayant beaucoup plus de raisons de mourir, que de vivre. Donc jusqu’à quand s’acharner ? Car oui, c’est bien tout ce que c’est, de l’acharnement.

L’on ne me décernera pas plus de médaille, même poursuive jusqu’à 150ans.

Ce questionnement est constamment présent en mon esprit.
N’y a-t-il pas âme qui vive, pour avoir le courage de me répondre ?

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Petit poussin

Petit poussin faisait bien pitié au royaume de la désolation momentanée. À ne pouvoir vivre et exister en tout lieu, sans renfort pour le supporter.

Petit poussin était bien au nombre des faibles et lâches, c’est certain, À se contredire, ramper, bref à se vendre. Il n’est plus l’ombre d’un être.

Petit poussin, avait quelque chose de curieux à trop vouloir jouer les hommes. Il démontrait plus sa grande féminité, un homo raté qui n’avait pas de famille.

Petit poussin à l’extérieur de tout groupe, renier, même des siens. Le genre qui passe des annonces pour se trouver une femme « d’apparat ».

Arggg ! Je hais viscéralement la fausseté et l’hypocrisie ! C’est bien vrai.

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