Je regarde le jour et je n’y vois aucun réconfort.
Je regarde le jour et je n’y vois aucun ami.

Il ne vaut rien pour moi, tout comme je ne vaux rien pour lui.
Pas seulement le jour, mais avec tous êtres c’est pareil.

Je regarde le jour et je n’y vois aucun passé.
Je regarde le jour et je n’y vois aucun avenir.

Il ne vaut rien pour moi, tout comme je ne vaux rien pour lui.
Pas seulement le jour, mais avec tous êtres c’est pareil.

Je regarde le jour et je n’y vois aucun soleil.
Je regarde le jour et je n’y vois aucun amour.

Il ne vaut rien pour moi, tout comme je ne vaux rien pour lui.
Pas seulement le jour, mais avec tous êtres c’est pareil.

Je regarde le jour et je n’y vois aucune justice.
Je regarde le jour et je n’y vois aucune aide.

Il ne vaut rien pour moi, tout comme je ne vaux rien pour lui.
Pas seulement le jour, mais avec tous êtres c’est pareil.

J’aurais beau regarder, que je n’y trouverais aucune vie, pour moi.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Épée du fardeau de la dépendance,
là a nous observé nous débattre frénétiquement,
pour chaque souffle péniblement gagner.

Bouclier orthodoxe de la rédemption,
toujours prêt à tenter de nous protéger,
en nous masquant la vue inutilement.

Heaume de l’anarchie du vice coupable,
ce tenant sur nos têtes, tel la médiocrité sur l’homme.
Qui envahit de stupeur, finiras dans le mur.

Armure de plates tinté du noir émotionnel,
rajoutant un poids démesurément lourd,
sur nos carcasses déjà trop surcharger de contradictions.

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Elles sont tout pour moi,
je leurs donnerais tout ce que je possède.
Je suis mal quand elles sont mal.
Je n’aime pas les voir dans des situations sans issus.
Je suis démunis quand elles ne viennent pas me voir.

Normal elles sont mes sœurs, les pierres précieuses de ma vie,
mon or a moi. Le soleil ne vaut rien face a elles dans mon cœur.

Pour moi on est pas trois, on est un. Un ensemble!
Pour moi les liens du sang sont inutiles,
c’est aussi solide et intense en moi que si nous l’étions.

Je ne peux qu’être déçu de voir dans leurs regards le vide.
De sentir très clairement en elles l’indifférence et l’insouciance.
Les choses ne se passent jamais comme on veut, tout récidivent.
J’ai déjà commencé à les perdre, rien ne change décidément!

Je ne sais pas comment les garder, c’est ainsi…

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Il parait qu’un homme est né, qu’un autre est mort et qu’un fou reste. En ce jour qui comprend les démences de nos faibles esprits.
Car oui, nous sommes tous déments, régis part des futilités sans borne.

Il parait que si nous mourrons, ce monde mourra.
Il parait que des égoïstes simples d’esprit, le pensent vraiment.
Il parait que ce monde en contient même sept milliards.
Il parait qu’en dépit des brailleries des simples, ce monde nous survivra.

Cessez de tout ramenez à vous « frères humains ».
Pour ce monde qui vous as donnez la vie, vous ne représenter rien.
Il se débarrassera de vous comme d’un vulgaire mouchoir user.

C’est là que nous finirons, tous ensembles dans la mort.
C’est là que nous regretterons, seul à coté du firmament.
C’est là que nous pleurons égarer dans les ténèbres.

C’est en cet instant que je souris de notre sort, que trop prévisible…

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Lune d’automne qui sous un ciel gris azur,
se souvient oublier des murmures,
que jadis elle soufflait tendrement aux impures.

Éclair d’été, vif comme le vent qui souffle au aboie,
nous passionne en remuant ciel et terre avec effroi,
sublimement intime nous caressant d’amoureux émoi.

Soleil de printemps qui illumine cette terre torturé,
tentant d’ensoleillé le cœur des hommes dépouillés,
de toute amabilité à ressentir ce monde et sa tranquillité.

Noirceur d’hivers qui masque tour à tour les hautes cimes,
torpeur d’une nuit blanche féerique scellé dans l’abîme,
que trop on vue comme une infime pâleur illégitime.

Jack Asmo Tous Droits Réservés