J’aimerais à nouveau raconter les choses; chaque fois que je raconte l’humain, que ce soi moi ou les autres, ça l’a tendance à être de la merde, disons-le, surtout dernièrement. Je devrais sûrement me concentrer sur la nature alors. Sur ce qui est beau.
L’arbre qui renferme la pluie de la veille
Nous surprend en un coup de vent
Nous agrémente de gouttelettes permissives
Nous mouille délicatement sans demander en retour
Si généreux feuillage empli de vie
Au matin, sur le chemin de la continuité
D’un incertain avenir, certes palpable
Le néant n’existe pas en la nature
Il y a que ce doux rafraîchissement, culminant l’apogée du penseur
Jack Asmo Tous Droits Réservés