‘ … Race stupide et idiote! Tu te repentiras de te conduire ainsi.
C’est moi qui te le dis. Tu t’en repentiras, va! tu t’en
repentiras. Ma poésie ne consistera qu’à attaquer, par tous
les moyens, l’homme, cette bête fauve, et le Créateur, qui
n’aurait pas dû engendrer une pareille vermine. Les volumes
s’entasseront sur les volumes, jusqu’à la fin de ma vie, et,
cependant, l’on n’y verra que cette seule idée, toujours
présente à ma conscience! ‘
Lautréamont
Les chants de Maldoror (chant deuxième)