L’été, l’été, il n’y a pas que ça
L’ours polaire préfère de loin l’hiver
Essayera de profiter néanmoins
De cette autre saison pour tenter le sort
L’acharnement qu’il porte enfreint
Les règles du raisonnablement
Tolérable, ci-bas
Le panda, un autre du nombre des ours
Se dit que les femmes qui accouchent
Ont bien de la chance dans ce monde
Si c’est là leur pire souffrance connue
Elles ne connaissent pas les douleurs
Constantes de l’être, de sa démesure
Un moment sommes tout joyeux
Que les ours, ne connaissent point
Il n’y pas d’épidurale pour la solitude
Et la déchéance, l’emprisonnement
Jack Asmo Tous Droits Réservés