L’oubli, est l’un des plus grands ennemis de l’humain, oui.
Nous oublions de vivre
Nous oublions de ressentir
Nous oublions notre mère
Nous oublions nos parents
Nous oublions nos amis
Nous oublions nos familles
Nous oublions l’espoir d’un jour beau
Nous oublions qu’il y a des humains là devant nous
Nous oublions qu’il y autre chose que moi et moi
Plus important nous oublions de voir
Prisonnier d’une cécité malsaine
L’humain est bien
Au final nous oublions notre être
De s’élever contre les fausses certitudes
Les nôtres, comme celle d’autrui, des autres
De questionner nos habitudes, de questionner, de questionner oui, tout ce qui ne concorde pas !
L’anarchie des mots et des gestes résolus de la contradiction abusive, rusée telle nulle autre.
Nous marchons sans être, ni but, dans l’oubli du bon, de la possibilité du meilleur. En répétant sans cesse les mêmes gestes stupides, sans se remettre en cause.
L’humain est bel et bien mort ! Renaîtra-t-il de ces cendres tel un phénix ? Ou continuera-t-il sa chute, jusqu’au tréfonds de l’ineptie, la belle médiocrité ?
Jack Asmo Tous Droits Réservés