Quand tu te réveilles et que ton corps est déjà fatigué de vivre. Tu sais que tu es à coté de la vie. À la fin d’une existence, ou dans un trou trop noir et profond pour en sortir. Dans les deux cas, l’espoir n’existe plus, dans cet univers, qu’est le nôtre à présent. Celui des oubliés.
Il y a que dans les faux livres, que de bons samaritains passent t’aider, parfois sur ta route. En vrai, ils passent tous leurs chemins. Volontairement, beaucoup plus que par insouciance. Ne soyons pas surpris, ils sont des humains après tout. Notre propre réflexion.
L’humain me déçois un peu plus chaque jour, pourtant je ne devrais plus en faire de cas. Il y a longtemps que je sais ce qu’ils sont, ce qu’ils valent. Dommage, car au final, ils ne changeront rien à ma vie.
Jack Asmo Tous Droits Réservés
et bah ! tu ne transporte pas la joie de vivre en ce moment toi !
Ceci dis, c’est joliment écrit 😉
Bises
bonne journée,
Cerise
Salut, merci de ton com.
Je suis redevenu pas si pire, c’est plus que c’est un écrits qui date de quand j’étais au plus bas.