Il grandit l’arbre, même si personne ne l’arrose et s’en occupe. C’est comme moi et un jour il meurt seul aussi. C’est la vie. Il tombe dans la forêt et fait du bruit, car il n’y a pas juste l’humain qui a des oreilles. Ou fige sur place et servira encore de maison à toute les créatures. Au fond mort ou vivant il ne change pas de fonction, ceci est une vraie réflexion.
Où est-il donc cet arbre des légendes, censé aider voir guider les hommes. Je crois qu’il est en nul lieu et partout à la fois. Une aura mystérieuse de ce monde endeuiller constamment, qui perd de plus en plus de ces jeunes gens, au bord du gouffre linéaire. Un manque de choix, des nécessités et exigences, sans cesse plus grandes. Les étouffent !
Mourir sur le bord d’une route désertique, c’est poétique, non? Mais au fond, la vie n’est t-elle pas une série de chemins déchus? Qui nous emporterons tous, tôt ou tard. Étendu là, tout ce qu’il nous reste, c’est bien la nostalgie. C’est état d’être merveilleux. Ça rassure ceux qui partent de s’accrocher à leurs souvenirs.
Mais voilà que moi je ne suis pas différent que votre reflet, ma chute n’est pas pire que la votre, ma vision n’est pas plus juste mais moins encombrer. Aux travers de vos miroirs ce n’est pas un reflet seul, mais celui de sept milliards d’autres, vous êtes ce monde et ce monde est vous. Tâchez de vous en souvenir..
*Compléter le 17 novembre 2011.
Jack Asmo Tous Droits Réservés
bonsoir
un début à tout,
et il en faut toujours, un début à tout.
croire, ou ne pas croire!
voir, ou ne pas voir!
qu’importe tes mots te portent.
bonne continuation.