Je vole dans mes pensées les histoires qui étaient et qui seront.
J’entends les cris des morts de demain, qui appellent à l’aide pour hier.
Je vois l’humain sans son masque, ingrat et dépourvu de mesures.
J’estime la vie à ce qu’on en fait et non au respire qui en découle.
De la folie la plus pure, naît l’abandon de soi…
Cloué au mur par le sillage de vent du train qui passe et s’en va sans moi.
Essoufflé de courir derrière l’avenir inaccessible, parfois je me surprends dans la solitude persistante à craindre l’éternité.
Cherché en vain le numéro de la vie dans le bottin… Ne trouvé que celui de la déchéance, du mépris et de la haine, que j’ai que trop souvent composer.
Constaté avoir comme seuls compagnons, l’incertitude d’un avenir et l’échec exécrable d’une vie.
De la folie la plus pure, naît souvent la raison.
Jack Asmo Tous Droits Réservés
De la folie la plus pur,nait souvent la raison.
Quand tout va mal que la nuit est la plus epesse le jour se levera.
Et si le jour ne ce lève jamais?
Il finiras tout ou tard par ce levé me diras t-on!
Mais si, si et si il cesse de ce levé, ce jour que me diras t-on?
C’est comme quand on descent du train et qu’on a pas pus suivre les contours qu’a fait le train.
Le nord est au sud, l’est a l’ouest, comment ce retrouver dans une gare dans ces conditions, et tout a coup, tout fait demi tour et tout re va.
Jean-Louis