Le vent souffle, souffle, souffle, sur nos âmes dépravés.
Bruit de fond mystérieux, d’un monde en perdition.
Le vent souffle, souffle, souffle, sur notre conscience absente.
Raisonnement subtile d’un trou béant, qui n’existe pas.
Le vent souffle, souffle, souffle bien, sur ce monde en deuil.
Triste est l’hypocrisie d’un peuple condamner d’avance.
Le vent souffle, souffle, souffle, sur l’intelligence trop fragile.
Pour le peu, tenez la bien, ou elle s’envolera au loin.
Le vent souffle, souffle, souffle, encore et toujours pour nous.
Jack Asmo Tous Droits Réservés