Accroupie sur moi même, les yeux fermés à penser, tout comme le penseur d’Auguste Rodin. Triste sort qu’est le sien, à vivre éternellement par l’art et pourtant, à ne pas avoir de nom.
Un autre modèle inconnu qui ne sera jamais reconnu pour soi. Un peu comme moi au fond. Pourtant derrière l’artiste il y a quelqu’un qui vie, quelqu’un qui aspire à être aimé, entendu et surtout accepter.
Combien de nous sommes « le penseur »? Combien vivons que pour apporter à d’autres les fruits de notre labeur? Pour une personne ou un système, c’est du pareil au même! On s’oublie, on devient vide et le plus semblable aux autres, pour ne pas trop attiré l’attention.
Et pourquoi?
On est tous uniques et c’est ce qui est beau. On mérite tous notre renom, même minime. On devrait aspirer à prendre notre place, au lieu de ce soumettre pour d’autres.
Jack Asmo Tous Droits Réservés
Triste et réel constat, mais ne luttons-nous pas par la grâce des blogs?
à la liberté, l’égal à soi même, l’égal au autre, compliquer que cela, restons nous même et valorisons notre propre valeur, bonsoir