Je me promenais une nuit aussi sombre que le charbon. Je m’étais arrêter pour écrire, comme je le faisait plus jeune; Allez voir ailleurs, pour composé autre chose! À une époque je ne partais jamais sans un paquet de feuilles et un crayon.
J’y vue des gens plus étranges les uns des autres, que ce soi ce jeune titubant ou ce vieillard perdu. Tout ces gens ont un point en commun cependant, ils ne savent pas plus que moi ou ils vont!
Il ventait très fort ce soir là et je peinais à marcher. Je dois bien avouer que mon corps n’a plus l’habitude de lutter contre les éléments. À chaque rafale il recule, pour ensuite reprendre sa course.
Course contre le temps, toujours plus vite et plus précise, tel résume ce monde. Sans cesse de plus en plus dépourvu de sentiment. Normal! Qui as le temps de s’arrêter pour sentir et ressentir ce monde et ce qu’il comporte.
Je n’est pas eu le temps de voir beaucoup de choses en ce soir. Néanmoins je recommencerais en journée là ou tout bouge sans cesse et sans retenu. Là ou le jour éclairera mes feuilles et je l’espère mon esprit.
Jack Asmo Tous Droits Réservés