Moment de défoulement

Sans issue sont tous les hommes, dans le vide le plus constant.
Couvert de pourritures depuis toujours, il ne voit même pas les évidences. Des vies bien futiles, de destruction de tout ce qu’ils touchent et ront.
Le lot de chacun, noir, blanc, jaune, rouge et turquoise.
Peut-importe l’âge, le sexe, le lieu. L’humain court après sa queue.
Incessamment, sans en dérougir ou s’en apercevoir.
Ceux qui voient, aussi peu nombreux sont-ils, ne peuvent rien.
Trop souvent prisonniers de leurs tourmentes.
Ligoter, ne pouvant ni prouver, ni crier, encore moins s’affirmer.
Prisonnier de l’autre côté du miroir, sans vie, croissant des regards inconnus.

C’est bien là, une immense détresse de celui qui voudrait tellement aider. La rage qui le gruge finira par le consumer, ironique, car c’est la seule chose qui le maintient en vie.
Elle a un pouvoir de survie, pourtant elle ne peut faire fondre cette maudite glace, qui le sépare de la vie.
Quand les sons se tuent, il retourne seul dans son coin, sans rien ni personne, attendant son tour.

Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

Seul sont tous les hommes, dans la noirceur la plus total. Certains éblouies de trop de futilités, pour s’en souvenir. Mais un jour, elle rattrapera chaque enfant égaré. Vous verrez, tous, vous verrez. Le chien noir des légende est bien vrai. Il attend en chacun son heure. Il te prendra tout…. Ou pas, car rien de ce que possède un homme n’est à lui, même amis et famille, continueront sans lui. Sans trop de soucis. C’est ainsi, ils remplacent une distraction, par une autre.

*Seuls sont tous les hommes, tous les êtres et toutes les pensées dans ce monde. Il n’est pas différent des autres. Qu’attendait-il au fond?

Jack Asmo Tous Droits Réservés

*Extrait du texte « IL« .

Comme ça

Étoile doré haute dans le ciel
nous guide bien à sa guise
parfois

Un chemin qui ne ce résume pas
à suivre bêtement, heureusement
dira t-on

Si difficile de se prouver dans ce vide
d’exprimer ça personne pour dire
je t’aime

La perception, le poids d’un artifice
un faux, du vent, nous entraînant bien bas
sans leurre

Alors, parfois dira t-on je t’aime sans leurre !

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Réflexion de nuit

« La vie, la mort sont des notions archaïques diamétralement opposer. Pourtant, les deux sont des fatalités, des non sens, des passages obligés. Pour toutes formes, humaines et autres, aspirants à vivre dans cette dimension. »

Et je rajouterais;

 » Qui osera encore douter de leurs légitimités, par moment?
Quand tout est prévu, peut importe la manière ou le vouloir.
La main qui prend sa vie, n’en est pas moins bonne pour autant »

Jack Asmo Tous Droits Réservés

Le moule humain

On peut résumer un homme par tous, car c’est ce qu’il est.
Pas différent, les uns des autres, tous enclin de chuter en enfer.
Par la faute des individus, ils ne t’aident pas, ni te nuisent direct.
Ils se contentent de t’ignorer, pour ces enfoirés, tu n’existes pas.

Tous créer du même moule, couvert de moisi depuis le début.
Les tâches restent, de générations en générations, des tares indélébiles.
Le temps ne sait ni oublier, ni effacer, plus souvent masque le tout.
Regardez-les ces humains, voyez comme ils sont tous vos ennemis.

Jack Asmo Tous Droits Réservés