Je parcours doucement du bout des doigts, les quelques écrits que j’ai pu un jour composer sur du papier. Me disant que viendra un temps où c’est tout ce qu’il restera de moi.
Je tourne la page, si trouve une feuille blanche qui commence, sur une autre page ne demandant qu’a être rempli, de moments et sentiments qui sont propres à moi.
Un jour une lueur guidera mes pas, vers l’infini qui commencera.
Une nuit, une noirceur guidera mes geste, vers les ténèbres qui s’achèveront.
Un autre prophète de malheur, chevauchant les destins à dos d’âne.
Lent, têtu, écervelé comme pas deux, maudissant le sol de ne pas l’aider.
Si bas, si haut, tout n’est qu’aide ou pas. Tout est vue ou déni.
Si bas, si haut, tout devient et ce termine. Tout meurt et vie.
Vivra, si encore le temps est cléments envers celui,
qui porte le fardeau maudit et pervers de la solitude.
Sous forme de contrainte elle est que trop terrible.
Je doute que vous puissiez comprendre, ces mots utiles.
Un autre homme épuisé et à bout, de ce répéter sans cesse, tel une cassette jouant à l’infini, pour ceux donc la compréhension échappe.
Jack Asmo Tous Droits Réservés